La chanteuse Indra raconte son expérience effroyable avec le Botox

Si le Botox est devenu monnaie courante dans le milieu du show business, il n'est pas toujours sans conséquences. La preuve avec la chanteuse Indra, star des années 90, qui dévoile les séquelles désastreuses de ses injections dans le visage.

Les conséquences du Botox sur la chanteuse

Le 15 juillet dernier était diffusé le documentaire "Que sont-ils devenus ?" sur TFX, dans lequel plusieurs stars des années 90 raconte leur vie d'aujourd'hui. A cette occasion, on a pu retrouver la chanteuse Indra qui a dévoilé sa terrible expérience avec le Botox. Alors à l'aube de la quarantaine, la star d'origine suédoise décide de s'essayer au Botox. "Ça a commencé par une injection en 2006, donc ça date", explique-t-elle dans l'émission. Si cette procédure de médecine esthétique est sans conséquences pour certains, cela n'a pas été le cas pour Indra : "Le Botox commence à faire son effet. Je me rappelle, j'ai eu deux explosions derrière la nuque. Comme quelque chose qui pétait, tout qui avait lâché. Je sentais la tête qui descendait", confie-t-elle. Conséquences : de fortes douleurs quotidiennes (notamment une luxation de la mâchoire), qui perdurent encore aujourd'hui et qui obligent la chanteuse à suivre des séance chez l’ostéopathe.

Un visage différent pour toujours

Indra se souvient encore parfaitement du moment où son corps a cédé : "J'étais avec mon fils dans le parc et tout d'un coup ça a lâché. Ça faisait comme des élastiques qui partaient en arrière, comme si on avait lâché. Et puis le nez, il y avait de l'eau qui coulait. Des litres. Je sentais le visage se vider. Pendant deux jours, je me suis retrouvée comme les chiens qui ont des plis. C'était terrible". La chanteuse âgée de 54 ans a aussi souligné qu'elle ne retrouverait jamais son visage d'avant. Handicapée par ses douleurs, Indra note être tout de même soulagée que ses séquelles soient désormais reconnues et prises en charge par les médecins. "C'est un syndrome et c'est une souffrance constante. Vivre comme ça, ce n'est pas évident. Et je suis épuisée", conclut celle qui est retombée dans l'anonymat.