Audrey Fleurot se confie sur la gestion épineuse de ses cheveux roux "un vrai défi"

Au micro de "Dhombres et de lumière", Audrey Fleurot s'est épanchée sur son quotidien en tant que rousse. Et elle n'a pas mâché ses mots !

Audrey Fleurot se confie sur la gestion épineuse de ses cheveux roux "un vrai défi"
© JP PARIENTE/SIPA

Si Audrey Fleurot se distingue des autres par sa magnifique chevelure flamboyante, elle a longtemps rencontré des difficultés à cause de la couleur de ses cheveux. C'est d'ailleurs ce que la star explique dans le podcast Dhombres et de lumière de Télé-Loisirs.

Les révélations d'Audrey Fleurot sur ses cheveux roux

Les cheveux roux n'ont jamais eu autant la cote qu'aujourd'hui, et pourtant, c'est ce détail qui a fait de l'enfance d'Audrey Fleurot un moment compliqué. "Le fait d'être rousse, c'est très identitaire, c'est quelque chose avec lequel vous vous construisez" explique-t-elle avant de préciser : "Dans un premier temps vous galérez de ouf, c'est une tannée sans nom, on ne vous oublie jamais". La comédienne de 46 ans se souvient avoir subi des discriminations en raison de sa couleur de cheveux "Sur la photo de classe, il y avait un noir et moi, on s'est toujours mis l'un à côté de l'autre d'ailleurs, il y a une espèce de solidarité des minorités et c'est vrai que toute l'enfance, j'en ai chié comme c'est pas permis".

Être une actrice rousse au cinéma

Bien qu'aujourd'hui, Audrey Fleurot excelle sur le petit écran dans des séries comme HPI, Le Bazar de la Charité ou encore Infiltré(e), il n'a pas toujours été facile pour elle de s'imposer dans le cinéma. "Pendant toute une partie de ma carrière, c'était quand même très compliqué parce qu'à l'image c'est assez fort donc on ne vous envisage pas dans tout. Et quand vous démarrez, vous venez pour deux jours, un troisième rôle et on vous dit "ah mais là, à l'écran, vous prenez beaucoup de place !" Révèle-t-elle avant de conclure : "Je me suis tellement construite avec ça que je n'ai pas particulièrement envie de changer si le rôle ne le nécessite pas. Et s'il le nécessite, je suis ravie parce que ça me permet encore plus de m'oublier…".