Margaux Lonnberg : rencontre avec une créatrice, une dégaine, un talent Son style, sa dégaine

Et vous Margaux, parlez-nous un peu de votre look !

Quelle est votre tenue représentative ? Votre uniforme du quotidien ?

Bon, aujourd’hui en l’occurrence, je porte une salopette blanche et des espadrilles, ce qui n’a rien à voir, mais généralement, en tout cas pour la saison automne-hiver et tout comme la Parisienne type, c’est un slim et un beau pull. Ce que j’adore et que je fais très souvent aussi, c’est la superposition de couches. Je ne suis pas une adepte, sur moi, des gros manteaux : je préfère cumuler les épaisseurs, finir avec mon Perfecto et m’enrouler, me camoufler dans une énorme écharpe en maille.
 

Quels sont vos 5 basics vestimentaires ?

Un jean slim, un t-shirt droit blanc (et le même en version noire), un joli soutien-gorge (très important, surtout quand on porte des t-shirts un peu loose qui laissent deviner la lingerie), une belle paire de derbies et un Perfecto en cuir noir bien sûr.
 

Quelle est la tenue que vous n’avez finalement pas du tout assumée de porter dans le passé ? Le plus gros fashion faux-pas que vous ayez pu faire ?

Il y a quelques temps, j’avais chiné en friperie une très jolie robe blanche. Et je ne sais pas trop pourquoi, j’ai tenu à la teindre en rouge et je suis allée à un mariage comme ça… Une fois là-bas j’étais extrêmement mal à l’aise, dans une église, avec une robe rouge pétant : c’était déplacé et décalé, avec mes tatouages en plus ! Je me suis très vite dit "Mais qu’est-ce qu’il m’a pris ? Pourquoi ?". Et pourtant c’est une très jolie robe mais pas du tout adaptée à ce contexte. Elle est parfaite en mode rock, en ville et avec des boots, mais certainement pas à un mariage, avec un prêtre, dans une église, et en plus avec des tatouages sur le corps !
 

Si vous ne deviez retenir qu’une pièce de votre dressing, ce serait laquelle ?

Mon blouson en cuir noir Acne. C’est une perfection, un vrai basique. Seul problème : Je l’ai perdu, ou plus précisément on me l’a volé, et donc il faut que j’en rachète un très vite.

© Margaux Lonnberg

 

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