Voilà la partie du corps la plus difficile à accepter après 50 ans - presque toutes les femmes affrontent le même complexe
Une étude de l'IFOP a démontré quelle est la partie du corps qui est la plus source de complexes pour les femmes de plus de 50 ans. Découvrez-la.
La cinquantaine est souvent synonyme de grands bouleversements, marqués par l'arrivée de la ménopause. Résultat ? Le corps change et certains complexes se développent mais il y en a un en particulier qui rend la vie dure aux femmes de plus de 50 ans selon une étude IFOP, menée à l'occasion de la Journée mondiale de la ménopause, le 18 octobre.
Le complexe physique n°1 des femmes de plus de 50 ans
Si l'on aurait pu penser que les rides étaient le plus grand complexe des femmes après 50 ans, ce n'est pas le cas ! Alors que 9 femmes sur 10 sont complexées par au moins une partie de leur corps, la zone qui leur sied le moins est le ventre, source de complexe pour 75 % d'entre elles. Selon l'étude venue interroger 1000 Françaises concernées par le sujet du vieillissement, 6 femmes sur 10 (contre 5 en 2007) souhaiteraient agir plus efficacement sur cette zone particulièrement sensible aux modifications hormonales de la ménopause. Viennent ensuite les bras (64%) et le visage (61%), sources, eux aussi, de complexes importants.
Enquête @IfopOpinion x Humasana auprès des femmes de 50 ans et plus : les Françaises et leur rapport à lâge et au vieillissement
— Ifop Opinion (@IfopOpinion) October 18, 2023
Les Françaises entretiennent un rapport ambivalent avec lâge entre épanouissement grandissant et peur dêtre empêchées en vieillissant pic.twitter.com/fW1tQLeaqE
Les parties du corps qui suscitent le moins de complexes
Si la poitrine, le cou, le buste et les cuisses ont également été cités parmi les plus gros complexes physiques après 50 ans, à contrario, les parties du corps les moins regardées par les femmes sont les fesses et les jambes avec 42 % chacune. Mais tous ces complexes ne sont pas à prendre à la légère puisque 39 % des femmes de plus de 50 ans disent avoir ressenti une incidence morale à cause des bouleversements physiques liés à la ménopause. Preuve que le chemin est encore long avant que le passage des années ne soit plus perçu comme quelque chose de négatif.