Charlotte Casiraghi, Camille Gottlieb, Béatrice Borromeo et Tatiana Santo Domingo dévoilent leur style beauté cool à la monégasque

Les femmes de la royauté monégasque se sont prêtées au jeu de la photo de famille, dévoilant des looks beauté chics et naturels, loin des artifices guindés habituels. La preuve en photo.

Charlotte Casiraghi, Camille Gottlieb, Béatrice Borromeo et Tatiana Santo Domingo dévoilent leur style beauté cool à la monégasque
© ABACA

Les femmes de la royauté monégasque ont laissé tomber les looks sophistiqués pour le Grand Prix de Formule 1 de Monaco qui a couronné Charles Leclerc le 26 mai dernier. Focus sur leur style beauté chic et décontracté.

Quand la royauté devient décontractée

C'était l'événement sportif et mondain sur le Rocher : le Grand Prix de Formule 1 de Monaco a eu lieu le week-end du 25 et 26 mai 2024. Alors que le pilote Charles Leclerc a ravi les aficionados de la discipline sur la piste, les membres de la famille princière monégasque ont enchanté les fans du gotha. Ce sont particulièrement les femmes de la royauté qui ont marqué des points beauté. Outre Charlene de Monaco, ce sont Tatiana Santo Domingo, Beatrice Borromeo, Charlotte Casiraghi et Camille Gottlieb qui ont attiré l'attention en posant côte à côte. L'épouse d'Andrea Casiraghi, l'épouse de Pierre Casiraghi, la fille de Caroline de Monaco et la fille de Stéphanie de Monaco formaient un quatuor de toute beauté, affichant une particularité singulière. Alors qu'elles se montrent habituellement dans de magnifiques looks distingués lors de galas prestigieux, les quatre femmes ont ici opté pour le naturel, avec des tenues décontractées ravissantes.

Les mises en beauté naturelles de la royauté monégasque

Pour accompagner leurs tenues casual et sans chichis, les quatre femmes ont adopté une mise en beauté similaire. Cheveux lâchés et maquillage nude : les Monégasques ont révélé leur beauté naturelle, sans fioritures. On valide ces looks inspirés de la tendance "clean girl", faciles à copier à la maison. Les quatre stars nous prouvent ainsi qu'elles peuvent aussi jouer la carte de la simplicité, malgré leur statut privilégié.