Vos pires galères mode Le détail qui tue !

Il y a des jours avec, et des jours sans ! Tenue complètement inadaptée, oubli du passage devant la glace avant de partir au travail le matin... Vous nous avez confié quelques petits moments d'inattention mode, pour notre plus grand bonheur !

 Françoise : "Quand j'étais encore en activité, un matin, partie sur les chapeaux de roues, je saute dans le train quand, pour une raison ou une autre, je retire une chaussure pour détendre mon pied. Je jette un coup d'œil sur mon autre pied et, oh horreur, j'avais deux chaussures différentes !"
Sa réaction : "Heureusement, elles étaient noires toutes les deux, avec des talons de même hauteur et aussi confortables l'une que l'autre. Je me suis sentie devenir pivoine, au moins. J'ai passé ma journée assise les pieds sous le bureau !"

 Perrine : "Il m'est arrivé la même chose et je suis professeur ! J'ai enfilé mes escarpins dans le noir car l'ampoule du garage venait de griller. Je me suis rendue au collège où quelques heures se sont déroulées normalement jusqu'à ce que commence mon cours avec ma classe de troisième et le fou-rire général du premier rang. J'avais une chaussure bleue marine et une noire, mêmes hauteur de talon et forme tout de même !"
Sa réaction : "La honte ! J'ai piqué un fard puis j'ai continué mon cours comme si de rien n'était. Puis je suis allée m'acheter une nouvelle paire car j'avais conseil de classe une heure plus tard !"

"Je suis restée avec l'étiquette du prix collée dans le dos"

 Héloïse : "J'étais à une soirée où je ne connaissais personne, assise sur un canapé à côté d'une fille genre fashion victim un peu arrogante et on discutait vaguement avec une troisième fille. J'enlève mon pull pour arborer mon nouveau petit haut et là je vois ma voisine se pencher à l'oreille de l'autre en souriant, pour me demander ensuite "Il est neuf ton haut ?". Oui, pourquoi ? Parce que l'étiquette avec le prix était encore dans mon dos !"
Sa réaction : "J'ai vite renfilé mon pull et couru aux toilettes pour enlever l'étiquette... Un peu vexée d'être passée pour la dernière des cruches !"

 Anne-Marie : "Je travaillais en zone de montagne dans les Pyrénées-Orientales et en hiver, ma tenue consistait, par nécessité, en un gros pull, un anorak, un pantalon de velours et des chaussures Méphisto. Un jour j'ai été invitée à un vernissage et je n'ai pas eu le temps de me changer... Je suis donc arrivée en tenue "rustique" au milieu des dames en robe de cocktail et des messieurs en alpaga !"
Sa réaction : "Je me suis excusée de ma tenue sur le ton de la plaisanterie en disant que j'arrivais de la montagne chez les ours et qu'il commençait à neiger ! C'était il y a quelques années et à cette époque, les gens avaient une conception de l'apparence vestimentaire plus conventionnelle que de nos jours, la notion de sportswear n'était pas encore passée dans les meurs. Cela m'a servi de leçon pour les fois suivantes."

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