Patrick et Isabelle Balkany, drôles de confinés : confidences et PHOTOS

Si le confinement est une épreuve difficile pour bon nombre d'entre nous, il y en a à qui cette mise à distance obligatoire ne semble pas déplaire. Confinés dans leur demeure familiale de Giverny dans l'Eure, Patrick et Isabelle Balkany se sont confiés au micro de France Bleu sur leur quotidien.
Point de maladie ou de symptômes inquiétants. Après une année 2019 compliquée avec l'incarcération de l'ancien maire de Levallois, les époux semblent aujourd'hui ravis de profiter du calme de la campagne où ils sont... en famille au sens large, XXL, même.
Accompagnés de leurs deux enfants Vanessa et Alexandre, leurs petits-enfants, une amie de leurs enfants et son petit garçon, le couple ne risque pas de s'ennuyer. "Onze bouches à nourrir sans compter les cinq chiens et les trois chats", rigole Isabelle Balkany sur France Bleu. 

Patrick et Isabelle Balkany : entre siestes, cours de boxe et petit plats

Et la joyeuse bande ne manque pas de partager son quotidien sur les réseaux sociaux, entre conseils cuisine et bon plans d'approvisionnement, comme son incursion chez Thierry Collot, "le savoureux traiteur rôtisseur de Vernon". "On est très bien servi, très bien achalandé, entre Vernon et Saint-Marcel, c'est formidable", déclare la septuagénaire.

Et l'ancienne élue de Levallois n'hésite pas à mettre la main à la pâte. "Cuisiner j'adore ça, quand j'ai le temps, ce qui est le cas actuellement", révèle-t-elle. 

Le couple profite également de ce confinement pour se remettre des évènements éprouvants de ces derniers mois.

Incarcéré pour fraude fiscale, puis remis en liberté pour raisons médicales en février dernier, Patrick Balkany a besoin de repos."II est extrêmement fatigué, il se repose, il ne bouge pas", déclare son épouse Isabelle.

Un repos nécessaire mais parfois compliqué. "Les gosses apprennent la boxe, le karaté, je n'ai jamais acheté autant d'arnica que ces derniers temps" , raconte cette grand-mère, qui avoue perdre parfois patience face à tant d'agitation. 

Mais Isabelle Balkany est consciente de sa chance : "Le moulin de Cossy n'est pas l'endroit le plus désagréable du monde pour être confiné", conclut-elle.