Fini les mules et les tongs en cuir, ces chaussures cartonnent cet été et passent même en soirée
On les retrouve aujourd'hui aux pieds de Tina Kunakey et d'Iris Mittenaere, qui ne peuvent visiblement plus s'en passer.
Elles ne font pas de bruit, mais raflent tout. Cet été, un modèle en particulier dépasse les sandales à brides, les mules tressées et les tongs en cuir. Un modèle pratique à porter la journée et qui tient la cadence en soirée. D'abord aperçu l'an dernier sur quelques silhouettes mode, ces souliers sont désormais dans toutes les vitrines. Les marques s'y engouffrent les unes après les autres, du luxe à l'accessible.
En effet, son retour n'a rien d'un hasard. Il colle parfaitement à deux obsessions de 2025 : la transparence et la maille. Robes ajourées, sacs filets, vêtements seconde peau... La chaussure suit le mouvement. Visuellement, elle allège la silhouette. Portée avec un pantalon large, une jupe fendue ou une robe moulante, elle affine, structure, modernise sans en faire trop. Si le modèle mythique reste celui de la maison Alaïa, on l'a également vu chez Coperni, en version bijoutée, mais aussi chez Miu Miu, paré de bouts vernis, de reflets métalliques ou de résille opaque. Quoi qu'il en soit, elle reste à plat, sans plateforme.
Côté célébrités, elles sont nombreuses à avoir succombé à la tendance. Tina Kunakey ne peut désormais plus s'en passer. Le top a été aperçu à de nombreuses reprises en front row de la Fashion Week, sublimée de ces souliers estivaux. Iris Mittenaere, non plus, n'a pas su résister. Celle qui a été élue Miss Univers en 2016 a craqué, quant à elle, sur un modèle en grège, lors d'un séjour à Marrakech. Vous l'aurez compris, il s'agit des ballerines en résille.
Pour celles qui cherchent un modèle plus abordable que celui vendu chez Alaïa, Coperni ou Miu Miu, sachez que Mango propose un modèle à 45,99 euros. Eram suit également le mouvement avec une paire affichée à 39,99 euros, ainsi que Bocage dans une version rose poudrée à 87,50 euros. Alors, à vous de jouer !