Thomas Pesquet a 46 ans : femme, enfants, origines, âge... tout savoir du spationaute

Thomas Pesquet, qui est né le 27 février 1978 à Rouen, souffle une bougie de plus et fête ses 46 ans. Le spationaute au regard azur est passionné par l'espace, mais pas que. Il est actuellement en Antarctique dans la station franco-italienne Concordia, "un lieu important pour les réseaux d'observation sismique et géomagnétique de notre planète" peut-on lire sur l'Institut Polaire. Découvrez qui se cache derrière ce casque de spationaute et la vie qu'il a lorsqu'il n'est pas en mission.

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Quel autre métier voulait faire Thomas Pesquet ?

Si Thomas Pasquet a fait de brillantes études pour être spationaute, il est aussi un grand sportif. Et c'est important, car ce métier requiert une excellente condition physique. Il est ceinture de noire de judo, pratique la course à pied, la natation, le squash, des sports d'extérieur comme le VTT, le kite surf, la voile, le ski et l'alpinisme. Il a également fait beaucoup de plongée sous-marine et de parachutisme. Il est aussi dingue de basket-ball. "C'est ma passion, je suis astronaute par dépit ! Si j'avais pu faire basketteur, j'aurais choisi ça" avait-il confié à France TV Sport.

Qui sont les parents de Thomas Pesquet ?

La mère de Thomas Pesquet est très inquiète par le métier de son fils.  "Elle est très protectrice, elle s'inquiète beaucoup pour ses enfants comme beaucoup de mamans. Avant, j'étais ingénieur. Donc ça elle aimait bien parce que c'est pas trop dangereux. Après je lui ai annoncé que j'allais devenir pilote. Ça elle n'aimait pas trop. Elle me disait de ne pas piloter trop vite, ce qui est marrant parce qu'il n'y a pas vraiment de limitation de vitesse sur les avions", raconte-t-il dans Les Rencontres du Papotin.

Malgré tout, il comprend ses appréhensions : "Quand je suis devenu astronaute, ça l'a beaucoup inquiétée.(…) Le moment du décollage ça a été très difficile pour elle, pour mes proches (…). En vrai, c'est des flammes, comme une explosion, la terre qui tremble, c'est super impressionnant".

Quel est le salaire de Thomas Pesquet ?

Contrairement à certaines idées reçues, le salaire de Thomas Pesquet n'est pas proche de celui de Kylian MBappé ! Si l'on en croit les informations de Capital, Thomas Pesquet gagnerait entre 8 886,75 et 9 778,49 euros par mois. Il pourrait également bénéficier de primes pour le travail le week-end. "Je gagnerais mieux ma vie si j'étais resté pilote chez Air France", avait-il d'ailleurs confié au Monde.

Qui est la compagne de Thomas Pesquet ?

Cela fait plusieurs années que l'ingénieur partage sa vie avec Anne Mottet. Ils ont tous les deux le même âge et se sont rencontrés à l'époque du lycée. Ils vivent leur relation à distance, car en plus des déplacements de Thomas, elle habite à Rome. Elle est chargée des politiques d'élevage à l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture.

"J'exerce un métier qui n'est pas très "family friendly", ce n'est rien de le dire. Il existe deux options. La première, qui est malheureusement celle qui arrive souvent, voit le conjoint de l'astronaute arrêter sa carrière pour s'occuper du noyau familial. L'autre solution, c'est de s'organiser comme nous l'avons fait et ça demande beaucoup d'énergie", confiait-il dans son autobiographie.

Thomas Pesquet a-t-il des enfants ?

Thomas Pesquet a décidé de ne pas avoir d'enfants car cela serait incompatible avec son rythme professionnel. "Pour moi ça aurait été une décision facile parce qu'elle aurait reposé entièrement sur les épaules de ma partenaire justement. Moi je n'allais pas arrêter mon travail. Comme j'allais ne jamais être là, ça allait être à elle de tout arrêter pour assumer ça toute seule. Je ne trouvais pas ça juste" confesse-t-il dans Paris Match.

Malgré tout, il n'est pas complètement fermé à l'idée de devenir père un jour même s'il reconnaît qu'il ne faut pas trop tarder. "Ce n'est pas à l'ordre du jour pour l'instant, mais ce n'est pas non plus quelque chose qu'on a décidé de ne jamais faire. (…)  La situation peut changer, mais à partir d'un certain âge, ça va être compliqué(…)", reconnaît-il dans Le Parisien.