Amélie Nothomb excentrique : tout son argent passe dans sa chic passion...
Amélie Nothomb, de retour avec son nouvel ouvrage "Psychopompe", a fait d'amusantes confidences sur la manière dont elle dépense tout l'argent qu'elle gagne grâce à ses livres. La romancière a un plaisir coupable qu'elle a découvert à l'âge de trois ans...
De nature discrète, Amélie Nothomb, la célèbre écrivaine au chapeau et à l'allure sombre, n'a pourtant pas manqué de parler de son petit plaisir coupable dans une émission diffusée en 2020 face à Anne Roumanoff sur Europe 1. Avec plus de 15 millions de livres vendus, celle qui sort un bouquin à chaque rentrée littéraire (son dernier en date, Psychopompe) a également une autre passion. Un plaisir coupable qui lui coûte beaucoup d'argent et qu'elle a découvert à l'âge de trois ans !
Amélie Nothomb : ce plaisir coupable auquel l'argent lui donne accès
Chez elle, en séance de dédicaces, lors des soirées privées, Amélie Nothomb apprécie se délecter d'une boisson coûteuse et pétillante : le champagne. Élixir pour une créativité débordante ? Pour être plus sociable ? ou tout simplement pour le goût des bonnes choses ? Au micro d'Europe 1, elle s'est confiée : "Le champagne, c'est vraiment mon plaisir". Et d'ajouter : "Le but de la vie est de boire du très, très bon champagne".
On l'aura bien compris, la Belge adore tenir une flûte correctement remplie pour honorer ses convives et ses papilles. Heureusement, elle peut compter sur les succès de ses romans Premier Sang, Soif, Hygiène de l'assassin ou encore Le Livre des sœurs pour se payer ce plaisir coupable : "Je gagne des droits d'auteur. Donc j'en dépense la quasi-totalité en champagne".
Amélie Nothomb a découvert le champagne... à trois ans!
Comme Obélix qui est tombé dans la marmite quand il était enfant, Amélie Nothomb a découvert le champagne très jeune. Auprès d'Anne Roumanoff, elle a confié avoir goûté cette "limonade qui rend les adultes joyeux" à l'âge de trois ans.
Une information quelque peu surprenante que la femme de 57 ans a détaillée : "Je n'étais pas invitée aux cocktails que mon père donnait continuellement à la maison, mais je n'en étais pas exclue non plus (...) Donc j'arrivais à quatre pattes et j'attrapais les verres. C'est là qu'a commencé une grande carrière de videuse de demi-verres. J'ai remarqué à ce moment-là que le champagne et moi, c'était une grande histoire d'amour. Et ça continue aujourd'hui.".
Heureusement, l'auteure connaît ses limites et tente de modérer sa consommation d'alcool : "Je me suis fait une règle. Le thé c'est tous les jours, le champagne c'est un jour sur deux".