Maternité Béclère à Clamart : avis, contact, niveau
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- Maternité Notre-Dame de Bon Secours
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La Maternité Béclère est une maternité publique qui a réalisé 3 566 accouchements en 2023. La Maternité Béclère est une maternité de niveau 3. Elle est équipée pour les soins de néonatologie et pour la réanimation néonatale. Elle assure également la surveillance et les soins spécialisés des nouveau-nés présentant des détresses graves ou des risques vitaux. Voir les autres maternités des Hauts-de-Seine (92).
Adresse, contact et RDV
HU Paris Sud - Site Antoine Béclère - APHP
157 Rue de la Porte de Trivaux
92140 Clamart
Capacité d'accueil de la Maternité Béclère
- Nombre d'accouchements :
- 3 566 (2023)
- Durée moyenne de séjour :
- 5 jour(s) pour des accouchements normaux
- Nombre de lits :
- 68
- Nombre de salles de travail :
- 7
Nombre d'accouchements à la Maternité Béclère
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Je ne sais même plus par où commencer pour décrire l’ampleur du laisser-aller que j’ai constaté au sein du service de maternité et du service de gynécologie. Si je prends la peine d’écrire aujourd’hui, c’est dans l’espoir que mon expérience — douloureuse et profondément marquante — serve à améliorer la prise en charge des futures mamans. Dès ma première grossesse à risque, j’ai été confrontée à des dysfonctionnements graves. À deux reprises, mes analyses ont été « introuvables ». Résultat : alors que j’étais en pleine contraction, on m’a laissé souffrir le temps de refaire les examens nécessaires. Je suis arrivée en urgence, col ouvert, et pourtant on m’a annoncé qu’aucun dossier n’était disponible : ni échographies, ni analyses… dans un hôpital pourtant de niveau 3. Juste après l’accouchement, le personnel a quitté la pièce. Le brancardier est arrivé alors que je me sentais extrêmement faible, la tête tournante. Je lui ai demandé son aide pour monter sur le brancard. Il a croisé les bras, m’a répondu que « ce n’était pas son travail » et m’a laissée me hisser seule, tant bien que mal. Une fois en chambre, j’ai commencé à vomir sans interruption. Il est resté totalement indifférent. Lorsque j’ai appuyé sur le bouton d’urgence, l’infirmière n’est venue qu’au bout de quarante minutes. Elle a affirmé être débordée — comme toutes le répétaient. Avant même que je puisse expliquer que je ne me sentais pas bien, elle a déposé mon bébé sur moi en m’ordonnant de l’allaiter. Quand je lui ai dit que je n’en avais pas la force, elle m’a répondu sèchement : « C’est ça la maternité », puis elle a quitté la chambre. J’étais tellement épuisée que je me suis endormie avec mon bébé sur les genoux… Il aurait pu tomber par terre. Personne ne s’en est soucié. Le lendemain, je suis allée demander un tire-lait. L’infirmière révisait pour un examen. Quand sa collègue lui a signalé ma présence, elle a soufflé bruyamment et s’est retournée vers son écran, agacée à l’idée d’être interrompue. Pour ma deuxième grossesse, j’ai eu l’espoir naïf que les choses s’étaient améliorées. Je me trompais lourdement. C’était encore pire : aucune sauvegarde, aucun dossier complet, aucune analyse retrouvée, encore une fois. Les résidentes en médecine m’ont profondément manqué de respect, parfois même devant des stagiaires. Lorsque je leur ai parlé de douleurs thoraciques, elles m’ont répondu que « j’étais en gynécologie » et que je devais aller me faire soigner ailleurs… alors que j’étais hospitalisée pour une ouverture du col lors d’une grossesse gémellaire. Après mon accouchement, l’infirmière est venue pour me remettre les prescriptions. Lorsque je lui ai demandé pourquoi aucun laxatif n’avait été prescrit — indispensable quand on a des points — elle m’a répondu : « Vous ne me l’avez pas demandé ». Comme si c’était à moi de deviner et de réclamer les traitements nécessaires. La première nuit, la puéricultrice a dit à mon mari qu’il ne pouvait pas rentrer chez nous pour s’occuper de notre enfant de deux ans. Elle lui a ordonné de rester pour s’occuper de moi et des jumeaux, affirmant qu’elle était débordée. Il n’a pas eu d’autre choix que de partir malgré cette pression, car notre enfant n’avait personne d’autre. Quant aux puéricultrices, elles n’ont pratiquement rien fait. À minuit, elles m’ont forcée à me lever pour changer les bébés, malgré mes douleurs intenses. J’ai fini en larmes. Mon mari est revenu vers 2h du matin et s’est disputé à l’accueil en dénonçant le manque total de prise en charge. Le lendemain, l’une d’elles est revenue en disant qu’elle avait « seulement quatre bébés » et que je pouvais l’appeler si besoin… L’ironie était difficile à avaler. Même pour la douleur, rien n’était respecté : l’infirmière a refusé de me donner les traitements prescrits par l’infirmière en chef, se contentant d’un simple Doliprane. Chaque matin, les plateaux-repas étaient posés sur une table encombrée de biberons. Personne ne débarrassait. Personne ne prenait le temps. Le mot d’ordre semblait être : débrouillez-vous. J’ai vu des infirmières, des puéricultrices, des résidentes passer plus de temps sur leurs téléphones ou en train de réviser que d’aider les mamans épuisées. J’ai vu du mensonge, de la négligence, du manque de respect et, surtout, une absence totale d’humanité. Je ne souhaite à aucune femme, aucune famille, de vivre ce que j’ai vécu. La maternité devrait être un lieu de soutien, d’écoute, et de sécurité. J’espère sincèrement que ce témoignage contribuera à remettre de l’ordre dans ce service, pour que la souffrance de certaines puisse au moins servir à protéger les autres.
Maternité sale (excrément sur les murs des toilettes dans la chambre que l’on vous donne, draps jamais changés , soins négligés, personne ne vous aide . Minable n’est même pas assez fort comme terme pour décrire cet hôpital