Roselyne Bachelot : Coiffure, Botox, Excès, Poulet-purée... Secrets de la ministre de la Culture

Le verdict est tombé. Le 6 juillet, Roselyne Bachelot , qui truste les plateaux télé depuis des années, a remplacé Franck Riester à la tête du ministère de la Culture. Un retour surprise pour cette passionnée d'Opéra de 73 ans qui avait disparu des radars politiques. Pour fêter ce grand retour, voici 10 anecdotes que vous ignoriez (peut-être) sur la plus franche et désopilante recrue du gouvernement. 

Elle est fille de résistant

Né en 1946 à Nevers, Roselyne Bachelot est la fille du résistant et député gaulliste Jean Narquin et d'Yvette Le Dû, tous deux chirurgiens-dentistes. 

La vie en rose 

Un brin fashionista, la ministre au look branché ne sort (presque) jamais sans sa touche... de rose. Une fantaisie qui lui a d'ailleurs valu le surnom de "dame en rose". Et même si elle fait son grand retour au ministère, pas question d'abandonner cette habitude vestimentaire, qu'elle traîne depuis bien longtemps. "Ma mère m'habillait en rose, peut-être à cause de mon prénom. Je veux rester moi-même", déclarait-elle à Gala. 

Son fils, "martyrisé"

Femme politique populaire et accomplie, la célébrité de Roselyne Bachelot a parfois été compliquée à vivre pour ses proches, en particulier pour son fils Pierre, âgé de 50 ans aujourd'hui, né de son union avec Jacques Bachelot. "Il a souffert du regard que les autres posaient sur nous. Il a été martyrisé à l'école, à travers des propos et des gestes", a expliqué celle qui succède à Franck Riester. Un harcèlement qui s'est étendu au-delà des mots. "Nous avons été obligés de le retirer d'une école à cause d'un professeur qui le battait parce que c'était mon fils", confiait-elle à Télé Loisirs.

Ses chaussures, au placard

Travailleuse acharnée (mais sans souliers). La nouvelle Ministre de la Culture passe des heures à bûcher sur ses dossiers dans son bureau... où elle cultive une petite habitude inavouable."Dans mon bureau, je travaille toujours pieds nus", confiait-elle à Madame Figaro. 

Le sens du détail

Son coup de cœur mode ? Les accessoires ! Mais attention, exit le look sapin de Noël avec des bagues à chaque doigt et des bracelets qui pendent par dizaines. "Pas plus d'un en plus de la montre, ça donne un bon coup de jeune et ça évite de se faire attaquer dans la rue", déclare Roselyne Bachelot dans son livre Bien dans mon âge. Compris ?

Ses cheveux

Niveau coiffure aussi, Roselyne Bachelot a ses petites astuces pour rester à la page. Elle a troqué les "choucroutes bouclées à la dégringole" contre une bonne coupe, sobre, nette, qui dégage et rajeunit le visage. "Ça vaut un lifting !", lançait-elle dans son livre.

La musique dans la peau

Outre la politique, l'ex-chroniqueuse de C8 a une autre passion : la musique. Dès 3 ans et demi, elle pratique le piano et s'illustre dans le chant choral jusqu'à ses 20 ans. Mais c'est à 25 ans qu'elle tombe véritablement amoureuse de l'opéra, lorsqu'un ami l'emmène pour la première fois au Festival de Vérone assister à un spectacle d'art lyrique. "C'est un choc amoureux, (...) C'était la joie d'entrer dans un monde magique, de poésie, où je trouvais ma liberté", confiait-elle à France Info. 

Sa routine sport

Sa méthode infaillible pour éradiquer les kilos en trop ? La marche nordique ! Cuisses, bras, fessiers, abdos, toutes les parties du corps sont sollicitées. "En une heure de sport, vous brûlez 50 % de plus qu'une marche traditionnelle", explique-t-elle dans son livre.

La chirurgie esthétique

A 73 ans, l'ex-ministre de la Santé peut se réjouir d'avoir un très bon capital jeunesse. Et tout ça sans être passé sous le bistouri ! "Tout est naturel ! Il n'y a pas un gramme de Botox, de collagène, de lifting. J'ai de très bons gênes", a-t-elle assuré sur Non Stop People. Et d'ajouter: "Il faut dire que mes deux grands-mères et maman étaient magnifiques. Elles avaient des peaux magnifiques. Et ça demande une hygiène de vie, comme tout. Pas de tabac, pas d'alcool. Mais je crois que je le dois beaucoup à l'hérédité". 

Son plat préféré

Roselyne Bachelot est une grande gourmande. Sa recette fétiche ? Le "poulet-purée" de la brasserie Lutetia à Paris et "tous les rayons de la Grande Épicerie du Bon Marché". "Je peux passer des heures à y déambuler mon panier à la main", déclarait-elle à Madame Figaro.