Le gendarme accusé de viol a été relâché sans poursuites
Accusé de viol par une jeune femme dans la nuit du 28 au 29 juillet, le gendarme de la Garde Républicaine retenu en garde à vue depuis les faits a été relâché le 30 juillet. Aucune poursuite judiciaire n'a été retenue contre le jeune homme de 24 ans.
Le gendarme de la Garde Républicaine accusé de viol a été relâché le 30 juillet sans faire l'objet de poursuites. L'homme de 24 ans était en garde à vue depuis la nuit du 28 au 29 juillet après de graves accusations de la part d'une jeune femme, qui avait déposé plainte pour viol. D'après les sources judiciaires, la procédure doit être transmise au Parquet de Paris pour être analysée en détails.
Viol au sein de la Garde Républicaine : "ils se connaissaient"
La victime accuse le gendarme de l'avoir violée dans sa chambre de la caserne, rue Delcassé dans le 8e arrondissement de Paris. Selon les premiers éléments de l'enquête, les deux jeunes gens se connaissaient. Vers 3h30 du matin le 29 juillet, elle aurait refusé un rapport sexuel avec le gendarme, et ce dernier se serait ensuite jeté sur elle pour la violer. Le gendarme nie toute contrainte envers elle.