Isabelle Mergault et la chirurgie esthétique : le sale coup de son père médecin pour l'empêcher de se refaire le nez (EXCLU)
Alors que son nouveau film comme réalisatrice, intitulé "Des mains en or", est sorti au cinéma, Isabelle Mergault a accordé une interview au "Journal des Femmes". La star y évoque sa longue absence sur grand écran, sa fille Maya ou encore son rapport au temps qui passe et ce qu'elle pense de la chirurgie esthétique.
Isabelle Mergault revient à la réalisation avec Des mains en or, film dans lequel elle fait tourner Josiane Balasko et Lambert Wilson. En pleine promotion, elle a fait des confidences au Journal des Femmes. Après la première partie de notre interview, retrouvez la suite dans laquelle elle évoque avec sa liberté de ton son rapport au physique, à l'âge et à la chirurgie esthétique.
Isabelle Mergault tentée par la médecine ou la chirurgie esthétique ?
Aujourd'hui âgée de 65 ans, la grande copine de Laurent Ruquier - qui l'avait un jour demandée en mariage - Isabelle Mergault n'apprécie que modérément le temps qui passe. "Je ne vois pas les bienfaits de l'âge. Tout le monde parle de la sagesse mais en fait c'est de la fatigue !", dit-elle. Et la star de clasher les femmes de 30 ans qui se disent pressées d'avoir "des rides"...
Et l'âge a aussi cette fâcheuse tendance à altérer le physique et le corps. Alors serait-elle prête à sauter le pas du bistouri pour quelques retouches ? "La médecine esthétique oui. Je vais voir un dermatologue qui me fait des injections d'acide hyaluronique une fois tous les trois ans. Mais la chirurgie, je ne pourrais pas. Mon père était chirurgien et je voulais me faire refait le nez quand j'étais jeune. Je lui avais demandé si je pouvais me faire faire une rhinoplastie une fois mon bac en poche et il avait dit oui", a raconté Isabelle Mergault au Journal des Femmes.
Mais son papa avait une idée en tête en acceptant...
Cette opération de chirurgie esthétique à laquelle elle a renoncé
Isabelle Mergault voulait donc passer sur le billard pour refaire son nez et une fois son diplôme en poche son père a mis en place un stratagème pour l'en dissuader.
Elle raconte : "Quand je l'ai obtenu, je lui ai demandé et il m'a amené en salle d'opération pendant une rhinoplastie. Il a frappé très fort parce qu'il n'y a rien de plus horrible que cette intervention ! J'ai tourné de l'œil et c'était terminé. Il avait gagné ! Je pense que cela m'a traumatisé et que je n'irai en salle d'opération que pour une intervention nécessaire. D'autre part, j'ai vu des réussites totales mais aussi des ratages. Je ne suis pas assez joueuse !"
Interview exclusive ne pouvant être reprise sans la mention du Journal des Femmes.