Cette griffe que l'on adore sensibilise à la dysmorphie corporelle dans sa dernière campagne

Le 2 mars 2023, la marque suédoise de prêt-à-porter Monki présentera sa nouvelle collaboration avec la Body Dysmorphic Disorder Foundation. Fondé en 2006, cet organisme vise à éduquer le grand public sur la dysmorphie corporelle, un trouble psychologique sous-diagnostiqué qui intervient lorsqu'une personne est dérangée par une ou plusieurs parties de son corps. Le fruit de ce partenariat ? Une collection capsule de sous-vêtements pastel.

Produite en édition limitée, cette ligne comporte deux ensembles de sous-vêtements en mesh. Le premier est composé d'un soutien-gorge et d'une culotte taille haute à motifs couleur lavande. Le deuxième set, décliné en violet clair, comprend un soutien-gorge transparent et un tanga imprimé de messages positifs, qui peuvent se lire à l'endroit dans le miroir. En plus de cette capsule, Monki et la fondation souhaitent sensibiliser et éclairer le public sur la dysmorphie corporelle. Pour ce faire, l'enseigne diffusera sur ses réseaux sociaux trois portraits de bénévoles de la fondation qui ont aussi souffert de ces troubles. "L'objectif de cette campagne est de sensibiliser le public à cette maladie et à la manière dont elle affecte le psychisme, le bien-être et la confiance en soi d'une personne", détaille Simone Van Starkenburg, directrice de la marque. 

Monki, marque engagée dans des valeurs humaines

Fondée en 2006 en Suède, la marque de mode du groupe H&M a su rapidement séduire à l'international. La recette de son succès : des collections pop qui font la part belle aux couleurs éclatantes et aux imprimés fun. En plus, Monki s'engage pour l'inclusion et n'a pas peur d'aborder des sujets parfois tabou. En plus de la dysmorphie corporelle, l'enseigne a par exemple abordé le sujet du cancer du sein ou des règles lors d'actions et de campagnes. "En tant que marque qui crée de la mode pour les filles et les jeunes femmes, nous avons la responsabilité envers notre communauté d'être aussi inclusifs et transparents que possible en ce qui concerne la représentation du corps et de la beauté", précise Simone Van Starkenburg. Et ça nous plaît.