Si Sandrine Kiberlain ne devait porter qu'un bijou, ce serait celui-ci : "Il fait partie de ma personnalité"
Alors que certaines célébrités ont un sac ou une paire de chaussures fétiches, Sandrine Kiberlain voue un amour aux accessoires, et notamment à ses bijoux. A tel point qu'elle les emmène partout avec elle. Confidences.
Entre la promotion de son nouveau film Sarah Bernhardt, La Divine et les cérémonies de remises de prix, Sandrine Kiberlain ne chôme pas ces derniers temps. L'occasion pour nous de revenir sur la passion mode de l'actrice.
Si le style de Sandrine Kiberlain a inévitablement évolué au fil des années, il y a un élément qui n'a pas changé : ses bijoux. La star a une véritable passion pour les bagues, dont une en particulier, qu'elle garde toujours au doigt. Dans une interview pour Le Monde, la Française expliquait son attachement pour sa bague camée. "J’ai l’impression de ne pas être finie lorsque je ne la porte pas. Elle fait partie de ma personnalité. Le fait qu’elle soit ronde, transparente et opaque à la fois me ressemble", a-t-elle déclaré.
Cet amour pour les bagues n'est pas récent. "J’ai une passion pour les bagues, j’ignore d’où cela me vient, mais j’ai toujours aimé m’en offrir. Sans juger sur l’apparence, j’ai le sentiment qu’une bague détermine celle qui la porte. C’est le cas pour moi, avec celle-ci particulièrement. Elle m’aide à me définir, aux yeux des autres et des miens", a confié la blonde.
L'ancienne épouse de Vincent Lindon aime tellement ses bijoux qu'elle les emporte partout avec elle, que ce soit lors de séances photos ou sur les plateaux de tournage. Ainsi, Sandrine Kiberlain a porté ses bagues personnelles durant un shooting pour Madame Figaro et a également gardé sa bague dorée pour le film Floride.
"Je l'ai trouvée à la brocante Saint-Sulpice chez un super antiquaire qui s'appelle Barbanel. J'y trouve toujours des trucs super. C'est une bague très ancienne", avait-elle souligné à La Nouvelle République au sujet de cette bague ronde qu'elle arborait dans ce long-métrage avec Jean Rochefort.