Pour aller avec ses bijoux à 500 000 euros, Blake Lively choisit un survêt Adidas, tout simplement
Blake Lively, fan de sport ? Le 11 février 2024, l'actrice a assisté à la finale du Super Bowl avec une panoplie de bijoux d'une valeur de près d'un demi-million d'euros.
Taylor Swift, Ice Spice, Jay-Z, Blake Lively... Non, il ne s'agit pas du premier rang d'un défilé de la fashion week new-yorkaise, mais bien des stars présentes dans les gradins de l'Allegiant Stadium, à Las Vegas, où se tenait le Super Bowl le dimanche 11 février 2024. La couleur officielle, en tribune ? Le rouge, comme le maillot des Chiefs de Kansas City, qui ont remporté le match au terme d'une rencontre très disputée. Et ce n'est pas Blake Lively qui dira le contraire. L'actrice révélée grâce à son rôle de Serena van der Woodsen dans la série Gossip Girl a assisté au match vêtue d'un survêtement écarlate à bandes blanches Adidas, enfilé sur une brassière immaculée.
Pour sublimer sa tenue, la comédienne a opté pour un ensemble de bijoux d'une valeur supérieure à 446 900 euros. Des pièces d'exception créées par la marque américaine Tiffany & Co. Bracelets sertis de diamants, manchettes en or massif, et même un collier à maillons commercialisé 85 000 euros.
Un trophée dessiné sur un bout de tissu
La griffe de joaillerie, acquise par le groupe LVMH en 2020, ne s'est pas contentée d'accessoiriser le look de Blake Lively. Tiffany & Co. a également dessiné le trophée remis aux vainqueurs du match et à Patrick Mahomes, leur charismatique quarterback. L'œuvre en argent sterling, qui représente un ballon de foot US en position de frappe, pèse 3,2 kilos et mesure 56 cm. Une coupe offerte chaque année à l'équipe gagnante depuis le tout premier Super Bowl, en 1967. Filage, orfèvrerie, ciselure, gravure, polissage à la main... Au total, sa production dure quatre mois et nécessite 72 heures de travail. Une création exceptionnelle, dont les contours ont été esquissés il y a 58 ans sur une serviette par Oscar Riedener, ancien vice-président de Tiffany & Co., lors d'une réunion avec le commissaire de la NFL (la ligue de football américain) de l'époque, Pete Rozelle.