Voici le meilleur placement à faire d'ici 2030 selon une banque américaine

Vous avez envie d'investir, mais ne savez pas quel placement effectuer ? Découvrez les conseils et les prévisions d'une grande banque américaine pour ces prochaines années.

Voici le meilleur placement à faire d'ici 2030 selon une banque américaine
© toppercussion-123rf

Assurance vie, Bourse, immobilier, livrets d'épargne... Il n'est pas toujours facile pour les particuliers de savoir où placer leur argent pour le faire fructifier. Et lorsqu'on parvient à épargner, il est recommandé de ne pas laisser dormir cette somme sur notre compte courant. Alors, quelle est la meilleure stratégie à adopter pour ces prochaines années ?

Les fluctuations du marché, l'inflation, les conséquences de la guerre en Ukraine rebattent les cartes et les recommandations des banques évoluent. Mais selon Bank Of America, la deuxième plus grande banque américaine, un placement en particulier est aujourd'hui à privilégier. Il s'agit d'éléments essentiels à l'économie mondiale, qui permettent d'accéder à un portefeuille varié et dont le rendement est potentiellement élevé, tout en étant relativement à l'abri des soubresauts du marché.

Vous l'avez deviné, il s'agit bien des matières premières. Un terme qui englobe aussi bien le pétrole que l'or (dont le cours ne cesse d'augmenter !), le soja, l'argent, le cuivre, mais aussi le sucre, le café, le gaz ou encore l'électricité. Comme le révèle le site Capital, qui s'appuie sur le dernier rapport de la CFTC (Commodity Futures Trading Commission), les grands investisseurs ne s'y sont pas trompés et ont massivement investi dans les matières premières cet été.

Selon Bank of Mariina, les matières premières pourraient ainsi être l'un des placements les plus porteurs d'ici à 2030, notamment parce qu'elles parviennent à résister mieux que les autres à l'inflation. Et elles ont en plus le mérite d'être relativement bon marché, si on compare leur prix à celui des actions cotées en Bourse. Les matières premières "sont largement sous-valorisées par rapport aux autres marchés, et ce, depuis une dizaine d'années", confirme Thomas Andrieu, fondateur d'Andrieu Economics et écrivain, dans les colonnes de Capital.