Resto en couple : ce faux-pas peut gâcher une soirée qui s'annonçait parfaite

Il y a des comportements à bannir quand on est au restaurant en couple, que ce soit pour un premier rendez-vous ou les suivants. Au risque sinon de pousser votre convive à quitter la table !

Resto en couple : ce faux-pas peut gâcher une soirée qui s'annonçait parfaite
© 123rf-william87

Vous rêvez d'un dîner en amoureux détendu ? Vous voulez que ce premier rendez-vous soit parfait ? Il y a certains comportements ou mauvaises habitudes à gommer absolument au risque sinon d'irriter votre partenaire et de gâcher ce moment qui s'annonçait si bien. Dans une enquête Ifop menée pour Zenchef sur les stéréotypes de genre qui peuvent exister – voire perdurer – au restaurant, des Français ont partagé les comportements les plus déplacés qu'ils ont pu vivre lors d'un premier tête à tête. Et hommes comme femmes sont autant à s'en plaindre. Dans l'ordre des réponses, 74% sondés n'ont pas apprécié que leur convive : 

  1. pose son téléphone sur la table
  2. ne laisse pas de pourboire alors que le service était irréprochable
  3. consulte fréquemment son téléphone (email, sms...)
  4. réponde à un appel durant le repas tout en restant à table
  5. quitte la table en le laissant un certain temps pour sortir téléphoner
  6. soit trop exigeant avec le personnel (renvoi d'un plat, emplacement...)
  7. cherche à négocier un supplément ou un rabais auprès du personnel

22% des Français ont déjà demandé à la personne qu'ils invitaient de partager finalement l'addition

Et les mauvais comportements ne s'arrêtent pas là. L'enquête menée sur un échantillon de 1 525 personnes montre par ailleurs que certaines n'hésitent pas à ruser pour éviter de payer tout ou partie de l'addition. Ainsi 22% des Français interrogés ont déjà demandé à la personne qu'ils invitaient de partager finalement l'addition avec eux et 8% sont même déjà allés aux toilettes au moment de payer. "Enfin, l'attribution des actions et du pouvoir décisionnel au restaurant et dans le cadre des repas est un marqueur de différences genrées, commente Thomas Pierre, chargé d'études au pôle Actualités et Politique de l'Ifop. Alors que les hommes s'attribuent le plus souvent les tâches peu contraignantes et nécessitant une pseudo expertise (comme le choix du vin), les femmes continuent d'être dans le travail du care en s'occupant par exemple des enfants (leur alimentation, les activités)."