Mondial 2014 : la Coupe du monde en chiffres
Le Journal des Femmes vous livre les chiffres clefs du plus gros événement sportif de l'été. Entre les 600 000 touristes attendus et les 200 000 Brésiliens délogés pour l'occasion.
Tout, tout, tout, vous saurez tout sur les coulisses du Mondial. Attention aux désillusions...
10 milliards d'euros : le coût de cette Coupe du monde au Brésil.
425 millions d'euros : le montant des primes accordées par la Fifa aux fédérations des sélections qualifiées.
25,5 millions d'euros : la somme qu'empochera le vainqueur.
64 : le nombre de matchs de la compétition, disputés par 736 joueurs répartis dans 32 équipes.
12 : le nombre de villes et de stades qui accueilleront les matchs. La compétition prendra lieu dans les villes de Belo Horizonte, Brasilia, Cuiaba, Curitiba, Fortaleza, Manaus, Natal, Porto Alegre, Recife, Rio de Janeiro, Salvador et de Sao Paulo.
350 000 : le nombre de supporters attendus dans les stades.
2 961 911 : le nombre de billets vendus pour la Coupe du monde à la date du mercredi 11 juin (dont 60 % achetés par des Brésiliens).
35 000 : le nombre de tickets acquis par des Français.
712 euros : le prix de la place la plus chère de la finale de cette année.
600 000 : le nombre de touristes attendus.
15 000 : le nombre de volontaires recrutés pour aider dans les stades ou prêter main forte pour les cérémonies. Les bénévoles ne sont pas uniquement Brésiliens mais de 102 nationalités différentes.
18 800 : le nombre de représentants des médias accrédités sur l'événement.
130 millions d'euros : la somme dépensée par TF1 pour obtenir la diffusion exclusive du Mondial (28 matchs choisis).
46 : le nombre de pays qui retransmettront la coupe du monde.
13 millions : le nombre de Bracuza déjà écoulés (le ballon officiel).
La Coupe du monde, c'est aussi...
48 : le pourcentage de Brésiliens favorables à la Coupe du monde, selon l'institut de sondage Datafolha.
36 : le pourcentage de Brésiliens qui déclarent n'avoir "aucun intérêt pour cette édition de la compétition". Un record depuis 1994 pour le pays du football.
157 000 : le nombre de policiers et militaires mobilisés pour assurer le bon déroulement du tournoi et la protection des touristes.
328 euros : le tarif moyen d'une nuit d'hôtel un jour de match à Rio (avec une augmentation de 107 %).
7 millions : le nombre de mal-logés au Brésil.
4800 : le nombre de familles de mal-logées qui campent sur un terrain situé à seulement 4 kilomètres du stade de l'Itaquerao, où s'est tenu le match d'ouverture.
200 000 : le nombre de pauvres qui ont dû quitter leur habitation de force pour faire place aux chantiers lancés pour le Mondial.
+ 97 et + 144 : le pourcentage d'augmentation du prix des loyers en six ans à cause de la spéculation immobilière (respectivement dans les villes de Sao Paulo et Rio).
28,8 % : le taux de pauvreté du Brésil (contre 7,6 % en France à titre de comparaison).
8 : le nombre d'ouvriers qui ont trouvé la mort sur les chantiers des stades.
