Nordahl Lelandais change de prison : "ébats sexuels" au parloir et "comportement" inquiétant

Nordahl Lelandais, condamné à la perpétuité criminelle pour le meurtre de la petite Maëlys, a été transféré vers une autre prison. Le meurtrier, qui a été surpris en plein ébat sexuel au parloir, exaspérait le personnel du centre pénitentiaire...

Nordahl Lelandais change de prison : "ébats sexuels" au parloir et "comportement" inquiétant
© Capture d'écran - BFMTV - Nordahl Lelandais

Nordahl Lelandais, condamné à la perpétuité criminelle pour le meurtre de la petite Maëlys, a été transféré dans une nouvelle prison, le 2 juin. Le meurtrier, qui était détenu dans la prison de Saint-Quentin-Fallavier, en Isère, est désormais emprisonné au centre national d'évaluation d'Aix-Luynes, dans les Bouches-du-Rhône, indique France Bleu Isère.

Nordahl Lelandais, transféré vers une autre prison : le "soulagement"  

Pour le personnel de la prison de Saint-Quentin-Fallavier, où l'ancien maître-chien était détenu depuis cinq ans, cette décision est salutaire. "On a envie d'avoir un peu de tranquillité", a assuré à France Bleu Isère Alain Chevallier, secrétaire général du syndicat Ufap au centre pénitentiaire, qui en avait assez de s'inquiéter "de ce qui pourrait lui arriver, de son comportement" et de traquer ses "téléphones portables reçus de l'extérieur".

"On mobilise énormément d'attention autour de lui. Énormément de personnel, ça suffit. On a besoin de retrouver un peu de calme au centre pénitentiaire", a-t-il expliqué avant de préciser qu'il était désormais "soulagé".

Nordahl Lelandais, surpris en plein ébat sexuel

Le meurtrier avait, en outre, été surpris à plusieurs reprises en plein ébat sexuel. Le 28 avril dernier, des agents pénitentiaires l'avaient découvert avec une femme, au parloir de la prison de Saint-Quentin-Fallavier, alors que tous deux s'adonnaient à une relation sexuelle, selon Le Dauphiné.

L'ébat sexuel avait été évidemment interrompu par les agents, qui avaient raccompagné Nordahl Lelandais, menaçant, en cellule. Le droit de visite de la femme avait été révoqué. Le meurtrier avait déjà reconnu avoir eu, dans le passé, des relations sexuelles avec une ou plusieurs visiteuses au sein de la prison.