Ces stars font tout pour ne pas rendre leurs enfants "pourris gâtés"

À quoi peut bien ressembler la vie d'un enfant de star ? De l'argent en abondance, des cadeaux pour n'importe quelle occasion, des passe-droits, du personnel à leurs petits soins ou encore des voyages en classe business, vous pensez ? Au risque de vous surprendre, ce n'est pas forcément le cas pour tous les enfants dont les parents sont célèbres. Certaines stars ont en effet décidé de ne pas gâter à outrance leurs progénitures et de les éduquer comme n'importe quel enfant. Par exemple, en leur laissant gagner leur propre argent et en leur laissant faire leurs expériences. Alors si la curiosité vous titille, voici les valeurs qu'inculquent ces 4 parents stars à leurs enfants : 

David Beckham, un "père strict" 

L'ancien footballeur professionnel et son épouse ont voulu que leurs quatre enfants, Harper, Cruz, Brooklyn et Romeo Beckham, fassent leurs preuves sans avoir à demander l'aide de papa ou maman. En 2012 déjà, David Beckham confiait sur la chaîne de la BBC qu'il était un "père strict" et que ses enfants gagnaient de l'argent de poche en faisant certaines corvées ménagères. Par ailleurs, avec leur premier fils, Brooklyn, pendant son enfance, ils l'ont encouragé à vivre comme les autres garçons de son âge, loin des projecteurs. À une certaine époque, l'adolescent aurait même pris un travail dans un café dans l'ouest de Londres pour se faire un petit salaire, selon les infos du Daily Mail. De manière générale, le couple Beckham essaie d'apprendre à leurs enfants la valeur de l'argent et du travail.

Elton John fixe des règles claires à ses deux fils

En parallèle de sa carrière dans la musique, le chanteur Elton John, 76 ans, s'attelle aussi à l'éducation de ses deux garçons, Zachary et Elijah, qu'il a eu avec son mari David Furnish et une mère porteuse. Malgré un train de vie luxueux assumé, ses enfants doivent apprendre à respecter quelques règles. "Les garçons vivent des vies incroyables, ce ne sont pas des enfants normaux, et je ne prétends pas qu'ils le soient. Mais il faut avoir un semblant de normalité, un certain respect pour l'argent, un certain respect pour le travail. Ils doivent faire des tâches ménagères : faire nettoyer leurs assiettes, aider à la cuisine, ranger leur chambre et aider au jardin...", avait-il confié dans un entretien avec The Guardian en 2016.

Gordon Ramsay ne pistonne pas ses enfants

Connu pour ne pas mâcher ses mots, le chef britannique Gordon Ramsay, 56 ans, s'assure avec son épouse de transmettre des valeurs importantes à leurs cinq enfants, Megan Jane, les jumeaux Jack Scott et Holly Anna, et Matilda Elizabeth. Il assume notamment de les faire voyager en classe économique lorsqu'ils prennent l'avion, et ne pas les pistonner pour leur trouver un travail, surtout si c'est dans l'un de ses restaurants. 

Ses enfants reçoivent aussi un peu d'argent de poche, ce qui leur permet de payer leur ticket de bus, leur téléphone ou encore leurs vêtements. Lors d'une interview au Telegraph, il expliquait : "Meg est à l'université et dispose d'un budget de 100 livres par semaine ; les autres reçoivent environ 50 livres par semaine. Plus tôt, vous leur donnez la responsabilité d'économiser pour s'acheter leurs propres baskets et jeans, mieux c'est".

Sting a voulu une vie simple pour ses 6 enfants

Célèbre pour avoir fait partie du groupe pop-rock The Police, l'artiste Sting, 72 ans, n'a jamais prétendu éduquer ses six enfants dans la richesse absolue. C'est même tout le contraire. Il a toujours voulu que ses fils et ses filles soient autonomes et qu'ils gagnent par eux-mêmes leur argent. "Les gens supposent qu'ils sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, mais on ne leur a pas donné grand-chose. Ils doivent travailler. Tous mes enfants le savent et ils me demandent rarement quoi que ce soit, ce que je respecte. Évidemment, s'ils étaient en difficulté, je les aiderais, mais je n'ai jamais vraiment eu à le faire. Ils ont une éthique de travail qui leur donne envie de réussir selon leurs propres mérites", avait-il indiqué dans un entretien avec le magazine The Mail on Sunday