Les fermiers sont les plus actifs sexuellement, 27% des avocat simulent...

C'est assez curieux, mais ils l'ont fait ! La marque de produits intimes de luxe Lelo UK a étudié la sexualité des Britanniques... par rapport à leur profession. Attention, voici de quoi amuser la galerie pendant les repas de fêtes...

• Libido : Est-ce le fait de travailler au grand air qui échauffe cultivateurs, éleveurs, viticulteurs et autres céréaliers ? Ce sont les agriculteurs qui se positionnent en tête des professions les plus friandes de câlins, avec 33% d'entre eux qui avouent être excités "au moins une fois par jour". Ils sont suivis par les publicitaires, avocats et enseignants. Chez les architectes et les coiffeurs, ce chiffre est beaucoup moins important (21% et 17%).
• Performance : D'après ce sondage établi par Atomik Research sur des adultes de plus de 18 ans dans tout le Royaume-Uni, les agriculteurs seraient aussi les plus performants au lit car ils sont 67% à qualifier leurs parties de jambes en l'air d'"incroyable" ! C'est un peu moins chez les médecins (63%), les architectes (43%) et les journalistes (40%)... Les publicitaires, eux, semblent paradoxalement les plus modestes à ce jeu car ils se classent derniers dans la qualifications de leurs ébats.
• Fréquence : Les journalistes ne passeraient pas souvent à l'acte à en croire ce sondage. En effet, ils sont 20% à déclarer ne faire l'amour qu'une fois par mois ! 
• Simulation : Les ouvriers et les agriculteurs (encore eux) disent ne jamais simuler durant l'acte à, respectivement, 69% et 67%. De leur côté, ce sont les avocats qui gagnent la palme des meilleurs menteurs : ils sont 27% à admettre simuler un orgasme à chaque rapport sexuel et 31% à voir que leur partenaire simule également. 
• Satisfaction : Les journalistes sont les premiers à se plaindre de leur partenaire : ils sont 60% à avouer qu'ils partagent leur couche avec quelqu'un de "moyen" sur le plan sexuel. Ils sont 40% à vouloir faire l'amour une fois par semaine et, au minimum, pendant 30 minutes. Les juges (75%) et ouvriers (74%) seraient plus à même "de parler à leur partenaire à propos de leur insatisfaction au lit". Un acte bien évidemment louable ! Les médecins, eux, font dans la thérapie de couple : ils sont 81% à aborder leur vie sexuelle et ses problématiques avec leur partenaire. 

L'experte en sexualité, Kate Moyle a commenté ces données ainsi : "Nous devons prendre en compte qu'il y a un gros montant de singularités qui impacte la vie sexuelle et la sexualité des personnes. Pourtant, ce que nous pouvons espérer ce sont des tendances, par exemple, le niveau d'activité physique dans une carrière comme celle d'un agriculteur, comparé à une personne qui serait dans un bureau car cela peut impacter les niveau de santé physique et d'énergie. Les facteurs d'art de vivre de nos boulots comme la flexibilité dans les heures de travail et l'environnement dans lequel on évolue professionnellement sont à même d'impacter nos vies en général et pas uniquement nos vies sexuelles."