Véronika Loubry, scandalisée : sa fille "boycottée" ?

C'est une Véronika Loubry révoltée et déterminée qui était sur le plateau d'Isabelle Morizet dans son émission diffusée sur Europe 1, Il n'y a pas qu'une vie dans la vie. Venue parler de son dernier livre en date, La vie m'a réservé bien des surprises, l'ancienne animatrice de télévision a également été questionnée sur la carrière de sa fille, Thylane Blondeau. Et alors même que la jeune femme de 23 ans est très populaire sur les réseaux sociaux, puisqu'elle rassemble plus de sept millions de personnes sur son compte Instagram, sa célèbre mère a dénoncé un "boycott" de la part de l'industrie de la mode…

Thylane Blondeau "boycottée" ? Sa mère Véronika Loubry l'affirme !

L'ancienne animatrice est persuadée que Thylane Blondeau aurait davantage réussi dans l'industrie de la mode si elle n'était pas la fille d'une figure populaire du petit écran. "Je dis et je revendique que Thylane est la fille de Véronika Loubry, de quelqu'un de populaire", a d'abord lancé Véronika Loubry. "Et ça n'est pas bien vu dans le milieu du mannequinat ?", a alors demandé Isabelle Morizet avant que son invitée ne réponde : "Mais vous le savez !".

L'ancienne figure du petit écran, aujourd'hui âgée de 55 ans, a ensuite persisté : "C'est à dire que la popularité ne va pas avec la mode. Jamais j'aurais fait quelque chose en mode, puisque j'étais populaire. Et ce terme que moi je revendique, n'est pas le terme de l'élite de la mode". Et de conclure : "Je le dis : si ça avait été la fille de Cindy Crawford, Thylane ferait les couvertures de tout ! Du 'Elle', du 'Vogue'…". Voilà qui a le mérite d'être clair ! 

Véronika Loubry, cash : "Ce ne sont que des femmes qui ont dit non à Thylane"

Des propos qui viennent confirmer ceux que la compagne de Gérard Kadoche avait déjà tenu sur les ondes de Radio J en avril dernier. "Ce n'est pas la fille de Cindy Crawford ni la fille de Monica Bellucci ni de grandes mannequins. Donc malheureusement ça lui a coûté d'être la fille d'une fille, d'une femme populaire et en fait elle trace sa route", avait d'abord déploré celle qui est aujourd'hui devenue créatrice de mode

"Elle est très très aimée par les États-Unis, par tous les pays, malheureusement plus boudée par la France parce que c'est la fille de Véronika", a assuré celle qui a quitté le tumulte de la capitale pour le calme et la tranquillité d'Aix-en-Provence.

Véronika Loubry est d'ailleurs plutôt défaitiste quant respect du grand principe de sororité : "Moi la sororité je n'y crois pas du tout je vais vous dire. Parce que ce ne sont que des femmes qui ont dit 'non' à Thylane", a-t-elle d'abord déclaré. Elle a ensuite dénoncé sans tabou : "Derrière le 'Vogue', c'est une femme qui ne voulait pas de Thylane. Derrière le 'Elle', c'est une femme".