Julie Gayet : sa nuit avec Nicolas Bedos

Dans une lettre ouverte à "Julie G" publiée dans le magazine ELLE, l'humoriste Nicolas Bedos raconte la soirée qu'il a passée au côté de l'actrice, en 2009.

"Celle que l'on rêve d'épouser mais que l'on a pas forcément envie de bousculer dans un lit". C'est de cette façon que Nicolas Bedos, polémiste, décrit Julie Gayet, la femme qui a fait trembler les murs de l'Elysée dernièrement.
Dans sa "Lettre à Julie G", publiée dans le magazine ELLE, il revient sur ce qu'il appelle "Notre petite histoire à nous. Celle dont tout le monde se fout".
Nicolas se souvient l'avoir découverte dans le film Clara et moi. Il la redécouvre ensuite dans Lovely Rita, "film très facultatif dans lequel tu engonças mon jean de brutales érections". Des années plus tard, ils se rencontrent enfin et passent une soirée ensemble. "C'est au moment même où tu te mis à discourir (brillamment) sur le sexe que je compris que nous ne le pratiquerions pas", écrit-il. Il précise : "Je ne suis donc pas en train d'écrire dans Elle que j'ai passé la nuit avec Julie Gayet : je suis en train d'écrire que je l'ai passée à côté d'elle. C'est à peine si nos mains, attendries par l'approche du sommeil, s'entremêlèrent". 

Dans "On n'est pas couché" sur France 2, émission dans laquelle il tient une chronique (qui avait déjà fait polémique en janvier sur l'affaire Dieudonné), Nicolas Bedos précise son récit et tacle au passage le Président : "Cher François, que ce soit bien clair : l'Elysée, c'est à toi. Le jardin, la lanterne, le fort de Brégançon, Trierweiler, toutes ces vieilleries, on te les offre. Les avions privés, les sommets du G20, les petits dej' avec Merkel, l'économie de gauche, enfin l'économie de droite, tout ça je te le laisse. Mais alors les gonzesses, ça c'est nos attributions. En plus c'est nouveau nous on t'a jamais vu aux réunions des infidèles célèbres, tu portais un casque là aussi ? ".

Il poursuit : "Et non content de débarquer sans prévenir tu commences par Gayet ? Non mais là Gayet c'est du lourd mec, nous Gayet on la tente en 4ème année ! Moi ça fait sept ans que je potasse le dossier (...) Tu m'étonnes qu'il s'en foute des sondages, il est passé directement de Flamby la molasse à Gatsby le magnifique".

Et Nicolas Bedos de conclure sa chronique sur le plateau de Laurent Ruquier en implorant Julie de l'"appeler immédiatement" : "Julie mon amie, t'es tombée dans un traquenard, les hommes politiques c'est le sida des vedettes, alors je te redonne mon numéro".