#BringBackOurGirls : Valérie Trierweiler continue son combat

A l'occasion de l'inauguration d'une exposition éphémère en l'honneur des 220 lycéennes nigérianes, toujours entre les mains de Boko Haram, Valérie Trierweiler et Anne Hidalgo se sont rassemblées place de la République, à Paris.

#BringBackOurGirls ne lâche pas l'affaire des jeunes Nigérianes enlevées en avril dernier. Même si la médiatisation de cette tragédie bat de l'aile, Valérie Trierweiler continue à s'investir. Elle a appelé au rassemblement lundi 28 juillet à Paris, via les réseaux sociaux, pour ne pas oublier le sort de ces étudiantes enlevées par la secte islamiste Boko Haram il y a plus de cent jours. A ses côtés, la maire de Paris, Anne Hidalgo, est  venue soutenir la démarche place de la République.
"BringBackOurGirls rappellera aux nombreux Parisiens et touristes qui fréquentent cette place que l'avenir de ces lycéennes nous concerne toutes et tous", a communiqué l'Hôtel de Ville. Pour marquer les esprits, 220 silhouettes ont été installées, reliées les unes aux autres par des chaînes. Sur chacune, le nom d'une des jeunes victimes. Cet événement, qui vise la sensibilité de chacun, sera en place un mois. Il a été financé par trois fondations : ELLE, Kering et Raja-Danièle Moscovici, investies dans l'éducation des femmes dans le monde. 
"220 jeunes filles, en 2014, sont enlevées pour être réduites en esclavage. Le crime est revendiqué. L'opinion s'indigne. L'actualité passe. On les oubliera" ou encore "Ces jeunes filles ont des noms, elles ont des familles, elles avaient des vies, elles avaient des projets", sont des phrases signées par l'ex-compagne du président de la République dans une tribune exclusive publiée dans Paris Match. La journaliste ne fait pas faux-bond à ses obligations. 

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Valérie Trierweiler continue son combat #BringBackOurGirls © Sipa Press