Christophe Dechavanne, en deuil et en colère : son coup de gueule sur le vaccin

Christophe Dechavanne a poussé un petit coup de gueule sur Twitter et a donné son avis bien tranché sur la vaccination contre la Covid-19. L'animateur, en couple avec une médecin confrontée au coronavirus, a également clamé haut et fort son amour...

Christophe Dechavanne, en deuil et en colère : son coup de gueule sur le vaccin
© PJB/SIPA

Christophe Dechavanne est en deuil : son ami prénommé Éric est décédé depuis peu, visiblement des suites de la Covid-19. Affecté par cette triste nouvelle, l'animateur de 62 ans espère que les campagnes de vaccination commenceront au plus vite. Alors, le 20 décembre, lorsque Nicolas Dupont-Aignan a prôné une vigilance accrue, sur le plateau de CNews, en demandant à ce que le vaccin soit encore testé avant d'être "appliqué à des millions de Français", Christophe Dechavanne a vu rouge. Sur Twitter, l'ancien présentateur de Ciel, Mon Mardi! a expliqué pourquoi, selon lui, il ne fallait pas trop attendre avant de proposer le vaccin et a évoqué les 90 000 tests déjà réalisés par les laboratoires pharmaceutiques.

Christophe Dechavanne : son coup de colère (par amour ?)

"Ça fait 90 000 cas ! 95% d'efficacité. Prendre le temps de se faire vacciner, c'est prendre le pari de l'augmentation de malades. Mon pote Éric mort mercredi dernier aurait été vacciné, c'est lui qui écrirait là. Ce n'est pas possible si on est écouté de proposer du temps", a-t-il lâché.


Rappelons que Christophe Dechavanne est en couple avec la médecin et sœur de Marina Foïs, Elena Foïs. Durant le confinement du printemps, l'animateur particulièrement prudent n'avait pas hésité à rappeler à l'ordre les Français qui bravaient les mesures restrictives, en évoquant le dévouement de sa compagne à l'hôpital. "Elle est à l'hosto loin de moi pour vous put**", s'était-il ému sur Instagram.

"Je suis avec celle avec laquelle je mourrai"

Récemment, dans Gala, celui-ci a clamé son admiration pour l'élue de son cœur : "Ma douce Elena, médecin interniste, travaille souvent dans une unité Covid. C'est hard. Des gens avec lesquels elle discute le mardi et qui ne sont plus là le lundi suivant. Y compris des personnes de 48-50 ans".

Et d'ajouter : "C'est la première fois de ma vie que j'attends que la femme avec laquelle je vis soit disponible pour la voir. C'était un peu le contraire dans une ancienne vie. Je suis avec celle avec laquelle je mourrai... Mais le plus tard possible si vous le permettez".