Nicolas Bedos veut faire "virer" Jean Castex : son cri du cœur osé

Nicolas Bedos, qui avait appelé à "vivre quitte à mourir", a demandé "en cadeau" le départ de Jean Castex du gouvernement. L'humoriste de 41 ans, en colère, s'est expliqué sur Instagram... Coup de gueule.

Nicolas Bedos veut faire "virer" Jean Castex : son cri du cœur osé
© Massimo Insabato/REX/SIPA

Nicolas Bedos ne tourne pas autour du pot. Il souhaite sans ambages l'éviction du Premier ministre ! "Cher papa Noël, virez-le moi", a-t-il écrit sur Instagram en faisant référence à Jean Castex. L'humoriste, qui avait appelé à l'abandon du masque et exhorté à "vivre quitte à mourir", a exprimé sa colère contre le gouvernement, sur le réseau social. 
Alors que l'acteur est manifestement en rogne face aux mesures restrictives imposées en France, une internaute a critiqué sa prise de position, jugée comme égoïste et imprudente.
Le fils de Guy Bedos a donc choisi de lui répondre directement, dans un post Instagram : "Voilà de longues années que j'écris des articles et des films qui font l'apologie de la vie dans ce qu'elle a de plus intense. Il y est question d'amour fou et d'une certaine inconséquence. D'art et de littérature, aussi", a-t-il d'abord déclaré.

Nicolas Bedos ne sera pas un "porte-voix de la raison sanitaire"

"On ne peut décemment pas me demander de me transformer en porte-voix de la raison sanitaire. C'est le boulot de nos gouvernances. Chacun son rôle en ce bas monde. Et je suis convaincu que le débat est toujours nécessaire entre ceux qui nous rappellent qu'il faut sauver des vies et ceux qui nous rappellent que ce dont on nous prive fait le sens de nos vie", a-t-il poursuivi, se faisant le chantre du "Carpe Diem".

"Arrêtez tout" : la tribune choc de Nicolas Bedos

En septembre dernier, Nicolas Bedos avait choqué avec son message anti-masques, posté sur Instagram. "Arrêtez tout. TOUT. Les masques. Les confinements. Excepté face à vos parents très frailes (quand ils le souhaitent, ce qui n'était pas le cas de mon père, meurtri à mort d'être privé de notre amour).

Vivez à fond, tombez malades, allez aux restaurants, engueulez les flicaillons, contredisez vos patrons et les lâches directives gouvernementales. Nous devons désormais vivre, quitte à mourir (nos aînés ont besoin de tendresse davantage que de nos précautions)", avait déclaré le fils de Guy Bedos, décédé fin mai, juste après le confinement.

Une opinion assez proche de celle de Yann Moix, qui a appelé le 2 novembre sur CNews à la "désobéisance civique" et "arrêter de se confiner".