Léa Salamé "chiante" mais "pas snob" : l'animatrice de Quelle époque ! admet ses défauts
Clivante animatrice, Léa Salamé est bien consciente de ses défauts. D'ailleurs, la star de France 2 en a dit un peu plus sur son caractère et sa personnalité...
Léa Salamé en toute transparence pour ce début d'année 2024. Sur le plateau de C à vous, sur France 5, la journaliste et animatrice âgée de 44 ans a accepté de répondre à plusieurs questions sans langue de bois ! L'ancienne complice de Laurent Ruquier a notamment évoqué son caractère.
Quels sont les défauts de Léa Salamé ?
La présentatrice Anne-Élisabeth Lemoine lui avait préparé plusieurs questions afin d'en savoir un peu plus sur sa personnalité. Léa Salamé y a répondu de manière honnête et authentique. Si elle devait être un pays ? "La France et la fierté d'être française comme tous les exilés à qui la France a donné sa chance. Je l'aime peut-être encore plus", a-t-elle répondu. En effet, la maman d'un petit garçon prénommé Gabriel est originaire du Liban.
Son principal défaut ? "Il y en a plein", a répondu la compagne du député européen Raphaël Glucksmann - lequel va mener la campagne des prochaines élections européennes pour la gauche -, avant d'ajouter : "Chiante, insatisfaite, impatiente, très exigeante pour moi et pour les autres. Donc chiante, voilà". L'animatrice de Quelle poque ! a la maturité de les reconnaître à la télé !
Léa Salamé s'était déjà confiée sur ses défauts en tant que journaliste au magazine Stratégies : "Étant une femme dans un milieu très masculin, j'ai eu besoin d'en faire un peu trop pour exister et me faire respecter à mes débuts", a-t-elle expliqué. "Je coupe peut-être encore trop la parole. C'est mon défaut de passionnée".
Léa Salamé en a marre qu'on lui attribue ce défaut : "Je ne suis pas comme ça."
Même si elle conçoit avoir des défauts, Léa Salamé ne laisse cependant pas passer toutes les critiques à son sujet. Dans une interview pour Télécâble Sat Hebdo en septembre dernier, elle a confié : "J'entends les remarques sur France Inter, son côté bien-pensant et bobo. Je ne suis pas comme ça. Je ne suis pas snob", s'est défendue la journaliste de France Télévisions.
Si elle devait retenir un compliment sur une qualité journalistique ? "Il y a un côté moins chichiteux, plus simple chez les Orientaux. Quelqu'un m'a dit que j'avais un peu décoincé le journalisme français. C'est le plus beau compliment qu'on ait pu me faire", a finit par conclure la journaliste franco-libanaise.