7 choses à faire au premier rendez-vous pour qu'il y en ait un deuxième
L'heure du premier rendez-vous a sonné. Notre stress est bien présent, nos espoirs immenses. Comment faire pour que ce premier rencard débouche sur un deuxième ? Conseils pour que ça fonctionne.
Existe-t-il une formule magique pour que le premier rendez-vous débouche sur un début de relation, qui débouchera lui sur un joli quotidien ? Non (dommage, on vous le dirait). L'amour a bien des mystères. Cependant, réussir le premier rencard en mettant toutes les chances de son côté, c'est possible ! Voici nos conseils pour que ça le fasse.
Un lieu sympa, choisi à l'avance
On évite les parkings ou les caves (enfin, chacun son truc) ou le QG où on allait toujours avec notre ex. On privilégie un lieu calme qui nous mettra en toute confiance et nous invitera à nous détendre. Si possible, on se décide avant histoire de se retrouver facilement et de ne pas tourner bêtement dans le quartier à la recherche d'un spot. Parce qu'à ce moment-là, si aucun n'ose prendre de décision (je vais passer pour un nul avec mon idée nulle), la gêne peut s'installer et nous, on finit par stresser bêtement.
Une attitude ouverte
On se détend ! Pas de moue boudeuse et de bras fermés. Parce que c'est quand même une bonne nouvelle, d'être là tous les deux. Si on est ouverte, spontanée et drôle, alors on détend en retour notre prétendant qui va également s'ouvrir, être spontané et drôle. Mine de rien, le comportement de l'un déteint sur le comportement de l'autre, simple réflexe. Alors on baisse nos épaules, on respire un bon coup.
On zappe les sujets de discussion houleux
A nos risques et périls. Si parler politique est tentant dans le contexte, on ne sait pas qui on a en face de nous. Alors au choix, on fonce vers des sujets légers sans crêpage de chignon (ou calvitie) à la clé, ou on prend la décision d'oser si on tient vraiment à savoir ce que l'autre pense de la cause des dauphins ou de notre futur président.
On tait nos passés amoureux
On est là pour construire au futur, pas étaler notre passé. Même si on a envie de questionner l'homme assis ici sur ce qu'il a vécu, on peut s'en passer. On n'apprendra pas grand-chose, mais on en tirera des conclusions hâtives et erronées. Idem s'il nous interroge, on ne raconte pas pourquoi on a quitté, on a été quittée. Tout ça pourrait plomber l'ambiance et amener chacun à développer de fausses croyances sur l'autre.
On évite de se plaindre
On a bien envie de râler parce que notre journée a gagné la médaille des journées pourries. Et puis notre mère nous a agacée, notre patron aussi, notre voisine aussi et hier c'était notre banquier, avant-hier notre ballon d'eau chaude. On en est au début, aux prémices, on n'a pas envie de s'exciter sur tout et rien. Le but est plutôt de passer un bon moment, même si ça n'empêche pas de montrer notre caractère et nos valeurs. Mais on se calme.
On ne se dévalorise pas
On a le sentiment qu'on est là par chance et que tout ça n'est qu'une vaste blague, nous gentille fille qui rate souvent ses dates et ses histoires de manière générale, TOUTES SES HISTOIRES. Alors on aime bien dire qu'on ne vaut pas le coup, qu'on est moche et un peu bête, afin de montrer que quand même, on a conscience de nos travers. C'est dommage, il ne les voyait pas, alors à quoi bon ? Mettons-nous plutôt en valeur, parce que des qualités, on en a. Même au nombre de deux, elles peuvent nous aider.
On envoie les bons signaux
On sait ce que l'on veut et on le montre, sans forcément le dire ("je veux me marier", au premier rendez-vous, ça peut faire peur, même à soi-même). Mais un regard appuyé, oui. Une main qui effleure une autre main, oui. Une proposition de rendez-vous prochain, oui. Et si on n'a pas envie de rentrer ensemble ce soir, on n'envoie pas de signaux hautement sexuels et chauds. Chacune dose selon son attente. Et voilà comment s'ouvre la suite.