Véronique Genest parle Islam, Covid-19, Politique et dit son poids, ses peurs...

Dans la nouvelle émission d'Evelyne Thomas sur "Non Stop People", Véronique Genest s'est lâchée ! Elle a balancé ses problèmes de santé, ses 100 kilos, ses convictions... égratigné le gouvernement, la gestion du coronavirus, la religion...

Véronique Genest parle Islam, Covid-19, Politique et dit son poids, ses peurs...
© Véronique Genest Capture d'écran DailyMotion Non Stop People

Connue et reconnue grâce au succès de Julie Lescaut, le feuilleton diffusé pendant 22 ans sur TF1, Véronique Genest n'a jamais caché ses convictions (parfois dérangeantes) et ses coups de gueule.
Invitée sur le plateau de Non Stop People le 29 septembre pour la toute nouvelle émission d'Evelyne Thomas, la flamboyante comédienne a évoqué sans détour la crise sanitaire, les polémiques qu'elle suscite et son impressionnante perte de poids.

La star a atteint le quintal sur la balance

La santé passe avant tout... L'actrice a perdu beaucoup de poids, pas moins de 36 kilos, en quelques années seulement. Une prise de conscience pour celle qui a avoué avoir atteint les 100 kilos par le passé. 

"J'ai grossi parce qu'il y a eu des problèmes dans ma famille, de maladie, d'un proche, de beaucoup de soucis, du décès de Mouss Diouf, des tonnes de choses comme ça qui ont fait que j'ai eu un blocage. C'était à partir de 2013, par là... J'ai grossi. J'ai vraiment commencé à avoir des problèmes de poids quand j'ai arrêté de fumé. J'ai arrêté en 2001 ou 2002 (...) J'ai pris 18 kilos", a confié Véronique Genest, qui ne s'est pas laissée abattre pour autant.

Après tous ces tracas, la vedette du petit écran a eu un déclic : "C'est la santé. Tout d'un coup j'avais de vrais problèmes pour bouger, pour marcher, de dos, de chevilles, de genoux... Des problèmes qui devenaient vraiment compliqués. J'étais en eau tout le temps dès que je faisais un mouvement, ça me fatiguait. Je trouvais que ça me mémérisait".

Véronique Genest face au coronavirus

Interrogée sur la question de la Covid-19, Véronique Genest a tapé du point sur la table. Bien qu'elle avoue ne "ne rien avoir contre le masque" puisqu'elle en a fabriqués elle-même, l'actrice de 64 ans reste perplexe sur la gestion de la pandémie par le gouvernement.

"Je ne suis pas du tout dans la théorie du complot. (...) Mais ce qui me choque c'est tout à coup qu'on commande des chiffres et qu'au moment où ça intéresse d'en commenter un autre, on en oublie certains, etc. (...) Tout à coup on communique sur des morts puis après on communique plus du tout sur les morts mais on communique sur les incidences. On change les façons de communiquer, on change les chiffres, tout ça pour nous entretenir dans une sorte de peur", a déclaré la maman de Sam, 24 ans, face à Evelyne Thomas.

Un état de stress incessant qui pourrait être approché d'une toute autre manière par les politiques selon sa propre vision des choses. "Et moi je veux juste qu'on arrête d'avoir peur parce que la peur ça n'a jamais aidé à diriger le monde. Ou alors tout à coup c'est inquiétant de diriger le monde à travers la peur. Ça me fait peur moi aussi ça cette façon de vouloir faire peur à tout prix. Alors qu'on peut faire les choses en rassurant les gens et en les responsabilisant et moi j'adore être responsabilisée", a-t-elle conclu.

La polémique sur l'islam : aucun regret

Véronique Genest est également revenue sur le bad buzz provoqué en 2012 par l'un de ses tweets. Cette dernière avait alors déclaré "l'Islam est dangereux pour notre démocratie", s'attirant ainsi les foudres de très nombreux internautes.

L'épouse de Meyer Bokobza assur qu'elle "ne regrette rien". "Je ne vois pas ce qu'il y a de négatif à dire les choses auxquelles on croit", a-t-elle ensuite lâché.

Et les critiques ? La star s'en moque... "Je fais mon métier. Dans mon métier, ça a toujours continué à marcher (…) Je n'ai pas de problèmes avec les gens dans la rue. Ce qui se passe médiatiquement, ce n'est pas la vérité, ce n'est pas ce qu'on vit. Je n'ai aucun problème", a expliqué l'ex-héroïne de Julie Lescaut.