Marianne James a cru mourir : "J'ai pleuré, j'ai eu très peur", cet incident qu'elle dévoile tardivement
L'heure n'est plus à la plaisanterie pour la pétillante Marianne James. La star a pris la parole en vidéo sur Instagram pour relater l'incident dans lequel elle s'est retrouvée malgré elle et qui lui a causé la frayeur de sa vie !
Marianne James a l'habitude de partager des moments de joie sur son compte Instagram. Ses followers, elle les adore et ne manque pas de leur rappeler, relatant des anecdotes qui commencent toujours par "vous êtes formidables" mais, cette fois, la jurée de La France a un incroyable talent a partagé une anecdote traumatisante. Cet été, elle a bien cru mourir.
Son expérience cauchemardesque sur la route...
"Je vais vous parler de quand vous n'êtes pas formidables. Quand vous êtes franchement dégueulasses", commence Marianne James visiblement très remontée. La célèbre jurée de La Nouvelle star - réconciliée avec Julien Doré - a décidé de s'emparer de son téléphone portable pour raconter une anecdote qui lui est arrivée il y a quelques mois et dont elle garde encore un souvenir amer.
Alors qu'elle était sur la route, Marianne James a dû emprunter une déviation, à Montélimar. Ce qui lui a valu la plus grande peur de sa vie. "Je roule à 70km/h, c'est la vitesse autorisée, et il y a une grand ligne droite de plus d'un kilomètre", dit-elle pour contextualiser.
Et alors qu'elle était seule sur la route, "tranquille", elle voit une voiture allemande arriver au loin. "Vous savez le truc quand il accélère, il aspire la route." Des hommes arrivent alors à "150 à l'heure (…) Et, pour s'amuser, dans les cinquante derniers mètres, ils changent de voie d'un coup et se mettent face à moi, comme dans fast and furious", détaille la chanteuse, qui en tremble encore.
Le conducteur joue avec ses nerfs jusqu'à la fin...
Mais ce n'est pas tout. Le conducteur a bel et bien joué avec les nerfs de Marianne James. "À la dernière limite, parce qu'il savait très bien conduire évidemment, il a rectifié le tir et il est retourné sur sa voie et il est passé à ça de mon véhicule. Ça a duré deux secondes et demi (…) J'ai eu peur, je me suis arrêtée sur le bas-côté. J'ai pleuré. J'ai eu vraiment très peur. Je savais que moi je ne m'en sortirai pas si on se rentrait frontalement (dedans)", se souvient-elle, encore sous le choc, après avoir vu défiler sa vie en deux secondes et demi.
En plus d'avoir eu la peur de sa vie, cet événement traumatisant a été la cause d'une crise d'urticaire sévère pour la camarade d'Hélène Ségara et Eric Antoine. "Le lendemain (…) le cou, la moitié du visage, le torse, urticaire géant. Sur la moitié du corps. Oui c'est violent, oui il y a eu du dégât chez moi et oui c'est dégueulasse", fustige-t-elle avant de regretter ne pas avoir réussi à relever la plaque d'immatriculation...