Steevy Boulay en deuil : il fête ses 43 ans dans la douleur (Les Grosses Têtes émues) - PHOTO

Steevy Boulay, qui a célébré ses 43 ans, a vécu un bien triste anniversaire. L'ex-Lofteur a perdu un être cher à son cœur. Ses amis des "Grosses Têtes" le soutiennent dans cette douloureuse épreuve...

Steevy Boulay en deuil : il fête ses 43 ans dans la douleur (Les Grosses Têtes émues) - PHOTO
© C. DELAHAYE/SIPA

Steevy Boulay a passé un bien triste anniversaire. L'ancien Lofteur, qui a fêté ses 43 ans ce 19 février, a perdu sa chienne, Goldy, qui était à ses côtés depuis des années et qu'il avait "adoptée aux Gamelles du Cœur", une opération qui aide les animaux des refuges à être correctement nourris. Dans la légende de sa publication Instagram, Steevy Boulay, très triste, a écrit : "Ma fifille nous a quittés cette nuit, je t'aime tant. Goldy, 12 ans".

Steevy Boulay, en deuil et soutenu par ses amis des Grosses Têtes

Face à cette triste nouvelle, le membre des Grosses Têtes de RTL a reçu le soutien de ses fidèles amis et collègues de l'émission, tel que Christophe Beaugrand, qui a commenté sa publication Instagram : "Oh mon Steevy, je t'embrasse fort, je sais ce que ça fait. Toute mon amitié". Quant à la chroniqueuse Caroline Diament, elle a déclaré : "Oh mon Steevy tu es dois être très triste. En plus c'est ton anniversaire pour lequel je te souhaite plein de bonheurs à venir". La jockey Darie Boutboul, elle, a commenté : "Tellement triste pour toi mon Steevy...je t'embrasse de tout mon cœur… Moi qui voulait tout simplement te souhaiter un bon anniversaire... Tu as un cœur 'grand comme une maison'".

​​​Steevy Boulay, de lofteur à Grosse Tête

Propulsé au rang de célébrité à tout juste 21 ans pour avoir participé à la toute première édition de Loft Story, Steevy Boulay a laissé les strass et les paillettes pour les plantes et les fleurs qu'il cultive dans sa maison au Mans, ville à laquelle il reste très attaché pour y avoir passé son enfance.

Rien pourtant ne prédestinait le jeune lofteur à devenir chroniqueur télé et radio ou encore comédien. Cette carrière médiatique, il la doit à son ami Laurent Ruquier qui le prend sous son aile à la sortie du Loft en 2001. C'est en effet sous l'impulsion de ce mentor que Steevy Boulay fait ses premiers pas en tant que chroniqueur et monte pour la première fois sur les planches et confirmera ses talents de comédien. Coulisses de sa nouvelle vie en province.

Steevy Boulay : sa belle demeure au Mans

Aujourd'hui, Steevy Boulay peut être fier du chemin parcouru et mène un train de vie confortable dans sa maison manselle. C'est là que le chroniqueur s'adonne à sa passion pour les plantes et la déco qu'il partage sur Instagram. "Je suis passionné de nature et dès que j'en ai le temps je jardine ou je m'occupe de mes orchidées", confiait-il au Courrier Vendéen. Au micro des Grosses Têtes, Laurent Ruquier revenait amusé sur la visite qu'il avait un jour rendue à son jeune protégé chez lui au Mans "Vous arrivez là, on ne peut pas se douter. Vu du dehors, ça paye pas de mine. Je me suis dit : 'Oh la, merde, on aurait peut-être dû l'augmenter. Je me disais le pauvre, j'avais l'impression d'arriver chez Loana.' Et j'ouvre la porte... Pinault La Redoute !", plaisantait l'animateur.

Steevy avait démenti vivre dans le luxe, assurant ne dépenser de l'argent que dans les plantes, sa passion. Quant à son tableau de La Joconde, c'est une babiole qui orne ses murs mais il y a peu de chance que le beau gosse claque des fortunes dans des peintures de maitres !

Steevey Boulay, ambassadeur et citoyen d'honneur de la ville du Mans

Très attaché à la ville où il a grandi, c'est donc naturellement au Mans que Steevy Boulay a posé ses valises. C'est aussi dans la cité mancelle que le trublion de la bande à Ruquier a ouvert deux discothèques en 2013 et 2015 baptisées La Loge et Loft Factory.

On comprend donc aisément que Steevy ait été nommé ambassadeur et citoyen d'honneur de la ville du Mans lors d'une cérémonie dans les salons d'honneur de la mairie en présence d'une partie de ses camarades des Grosses Têtes. A propos de ce titre honorifique, l'ancien chroniqueur de On a tout essayé expliquait au Courrier Vendéen : "Cela me donne des obligations face aux élus et aux habitants. Mais j'adore cette ville que je n'ai jamais quittée."