Pierre-Jean Chalençon (AFFAIRE CONCLUE), "traité comme de la mer**", "Rats" et "Toilettes de Sophie Davant"

Pierre-Jean Chalençon a dénoncé les conditions de travail dans l'émission "Affaire Conclue". L'antiquaire féru de Napoléon, qui a des soucis d'argent, a évoqué les "toilettes de Sophie Davant", des "souris" et son salaire "ridicule"...

Pierre-Jean Chalençon (AFFAIRE CONCLUE), "traité comme de la mer**", "Rats" et "Toilettes de Sophie Davant"
© TELBA/LMS/SIPA

Pierre-Jean Chalençon n'est pas près de tourner la page Affaire Conclue. Evincé de l'émission en 2019 après la diffusion d'une photo où il apparaissait avec Dieudonné à l'anniversaire de Jean-Marie Le Pen, l'ancien acheteur du programme a dénoncé les conditions de travail sur le plateau de tournage, le 14 mars, au micro de Sud Radio: "A la fin j'ai dit que nous étions traités comme de la merde et c'est un peu la vérité". Pour illustrer son propos, Pierre-Jean Chalençon a notamment souligné certains privilèges que se serait octroyée l'animatrice. "Sophie Davant se permettait d'arriver en moto, elle avait un moto-taxi. On nous avait refusé ça au bout d'un an parce que ça coûtait trop cher", a-t-il expliqué.

Pierre-Jean Chalençon, dans les "toilettes de Sophie Davant" avec "des rats"

En outre, Pierre-Jean Chalençon a pesté contre la production de l'émission au sujet des salaires… et des loges: "On était payés au lance-pierre avec des sommes ridicules et surtout on n'avait pas de loge. Notre loge pour les acheteurs, c'était les toilettes où Sophie Davant allait. Il y avait un petit frigo avec des souris et des rats et on se reposait dans le décor avec un petit canapé (...) Quand on va chez Hanouna, on a chacun une loge".

Pierre-Jean Chalençon : ses problèmes d'argent

Désormais, le féru de Napoléon rencontre quelques soucis financiers. Pierre-Jean Chalençon aurait mis aux enchères Osenat une cinquantaine d'objets de sa collection, le 12 mars à Fontainebleau, a indiqué Le Figaro. "J'ai vendu, pas par gaieté de cœur, pour payer les frais financiers de mon Palais Vivienne pour lequel je me suis endetté à l'achat, soit 30 000 à 40 000 euros par mois, alors que je n'ai reçu aucune aide de l'État pendant la pandémie", a-t-il expliqué au journal.