Les coulisses du shooting Lancia avec les rugbymen du Stade Français Paris !

Vous avez certainement feuilleté le très sexy calendrier des Dieux du Stade. Moi, je les ai vus en vrai lors du tournage de la pub de la Lancia Ypsilon. Zoom sur 4 rugbymen du Stade Français Paris qui ont joué aux acteurs.

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L'annonce en direct de la pré-sélection des joueurs en équipe de France a apporté beaucoup d'émotion au tournage de la Lancia Ypsilon. © Anne-Charlotte Laugier

Bientôt une pub qui devrait en faire craquer plus d'une. Celle de la Lancia Ypsilon avec 4 rugbymen immenses et bien musclés à son bord : Pascal Papé, Jules Plisson, Pierre Rabadan et Hugo Bonneval. Pour une fois, je ne me suis pas contentée de feuilleter le calendrier des Dieux du Stade 2014

Les coulisses du shooting

J'ai eu la chance d'être dans les coulisses du tournage et de bavarder avec ces joueurs de rugby exceptionnels du Stade Français Paris. Je fais fi de la séance maquillage durant laquelle les joueurs n'ont pas arrêté de se lancer des vannes. Pour la plupart, c'était leur premier tournage et s'improviser acteur était loin d'être évident. Mais nos 4 athlètes s'en sont sortis à merveille grâce à leur sourire, leur naturel et leur humilité. Mieux encore : l'annonce de la pré-sélection en équipe de France de Jules Plisson et Hugo Bonneval qui rejoignent ainsi Pascal Papé, leur a donné du baume au coeur et les encore motivés davantage.

Pour tourner ce spot qui est l'adaptation d'un film italien dans lequel des mannequins hommes roulent en Lancia Ypsilon, il aura fallu plus de 10 heures de tournage. Pascal Papé, Jules Plisson, Pierre Rabadan et Hugo Bonneval devaient découvrir la "mini" italienne chic et féminine en marchant à côté d'elle, puis regarder son habitacle par les vitres pour finalement se retrouver prisonniers dans une cage. Les joueurs ont tourné le spot sur un fond vert afin de pouvoir incruster différents décors dont une rue et la fameuse cage. L'objectif de cette pub : prouver que la Lancia Ypsilon n'est pas seulement une voiture pour les femmes. Bon d'accord, on veut bien la prêter... Mais pas trop longtemps, quand même !