M'Bappé a perdu des millions... à cause de sa mère !

Kylian M'Bappé a perdu une fortune à cause de sa mère, Fayza Lamari. Celle-ci s'est confiée sur son rapport à l'argent depuis que son fils est devenu un célèbre footballeur...

M'Bappé a perdu des millions... à cause de sa mère !
© NICOLAS MESSYASZ/SIPA

Kylian M'Bappé a déjà perdu beaucoup d'argent... à cause de sa mère! Alors qu'il était encore jeune footballeur, adolescent, il s'est vu proposer une offre alléchante. Il devait faire une pub qui devait lui rapporter une sacrée somme d'argent. Mais sa mère, Fayza Lamari, l'a obligé à "refuser cette pub", a-t-elle raconté au Parisien. Un refus qui a coûté cher au sportif! "Tu m'as quand même fait perdre 6 millions d'euros", avait-il alors lancé à sa mère. Malgré tout, le footballeur, désormais âgé de 22 ans, a pris la chose avec humour. "Il m'a chambrée pendant longtemps: 'Je suis ton patron quand même, tu peux m'expliquer?'", s'est souvenue Fayza Lamari. Si elle a refusé que son fils fasse cette pub, c'est que "les valeurs ne correspondaient pas à ce qu'il est". "L'avantage d'avoir de l'argent, c'est qu'on n'est pas obligé de vendre son âme au Diable", a-t-elle ajouté.

Kylian M'Bappé : "l'avantage d'avoir de l'argent"

Kylian M'Bappé a beau gagner des sommes astronomiques en tant que joueur au PSG (son salaire mensuel s'élèverait à 2 098 000 euros selon Forbes), Fayza Lamari, qui est également la présidente de sa société d'image, tient à garder les pieds sur terre. "Aujourd'hui, l'avantage d'avoir de l'argent, c'est qu'on fait des choix qui, justement, ne sont pas dictés par l'argent. Par exemple, si on avait prolongé, on serait plus riches. Idem si on n'avait pas refusé de nombreux contrats marketing. J'ai toujours dit à Kylian: 'À quel moment tu vas être heureux? Quand tu en auras 200, 300?'", a-t-elle expliqué au Parisien.

Kylian M'Bappé, face au "syndrome du pauvre"

Et si l'attaquant du PSG, qui a grandi à Bondy, en Seine-Saint-Denis, ne manque désormais pas d'argent, il continue de vivre (relativement) simplement. "Son rapport à l'argent est particulier. Par exemple, il n'a jamais de carte bleue, ni d'argent sur lui. Parfois, je lui dis: 'Tu ne veux pas prendre 200 euros sur toi?' Il me répond: 'Pas la peine, je vais juste jouer au foot'. Ce n'est pas un grand dépensier", a-t-elle détaillé. 
Et d'ajouter: "Pendant trois ans, on n'a pas touché à l'argent. On avait le syndrome du pauvre. J'avais peur qu'on me réveille et qu'on me dise : 'Rends l'argent.' On commence à investir depuis un an environ".