Louis Sarkozy, pose fier de son arme à feu : la PHOTO du scandale

Louis Sarkozy a posté une photo où il apparaît, une arme à feu à la main, et la Toile s'est enflammée. Face aux commentaires virulents, sa mère Cécilia Sarkozy a volé à son secours.

Louis Sarkozy, pose fier de son arme à feu : la PHOTO du scandale
© IBO/SIPA

Louis Sarkozy a littéralement enflammé la Toile en publiant sur Instagram un cliché où il pose, l'air désinvolte, en compagnie de deux autres hommes, tous munis d'une arme à la main. Le fils de Nicolas Sarkozy qui clamait son soutien à son papa pendant l'élection présidentielle de 2007 avant de grandir sous les ors de l'Elysée... semble à mille lieues du politiquement correct. 
"Histoire létale", a-t-il commenté en légende de la photo. De quoi choquer les internautes, qui n'ont pas hésité à exprimer leur colère et à... flinguer le fils de l'ancien président de la République. "En espérant que ça soit que du baltrap et que personne ne tue", "timing parfait, on ne pouvait pas faire pire", lit-on en commentaire.
Surtout, une internaute a laissé un message assez virulent : "Trois têtes du tueurs". En lisant ce commentaire, le sang de Cécilia Sarkozy n'a fait qu'un tour. Aussitôt, la mère de Louis Sarkozy a répliqué laconiquement: "Lamentable".

Louis Sarkozy, féru d'armes depuis l'enfance

L'ex-compagnon de Capucine Anav, qui habite aux États-Unis depuis le divorce de ses parents survenu en 2007, a visiblement adopté la mentalité de certains habitants du pays de l'Oncle Sam, qui tiennent au deuxième amendement (qui garantit aux citoyens américains le droit de porter des armes) comme à la prunelle de leurs yeux. 

Louis Sarkozy raconte d'ailleurs volontiers avoir été éduqué en partie par les officiers de sécurité de son père, qu'il considérait comme ses amis. "À 7 ou 8 ans ils m'emmenaient tirer, j'avais déjà une vraie passion pour les armes. J'adore les armes", confiait le jeune homme de 23 ans, qui a lancé sa ligne de mocassins, baptisée The Enigma Collection, en avril 2019. La déclaration avait déjà provoqué un vent d'indignation à l'époque... sans lui faire changer son fusil d'épaule...

"J'étais très jeune, et peut-être un peu brusque, mais pour le moins pas malhonnête, J'ai sans doute un peu caricaturé mes positions, qui étaient surtout basées sur mon goût des armes, justifiable, mais non sur de véritables arguments politiques, philosophiques ou sociaux", avait-il néanmoins admis deux ans plus tard, lors d'une interview à Ian Schröder, fondateur de l'Association pour le rétablissement du port d'arme citoyen (ARPAC).