Léa Seydoux, racaille de Saint-Germain-des-Prés

Léa Seydoux
Pauvre princesse. Léa Seydoux se présente au magazine Rolling Stone comme "une orpheline" qui a été à "l'école de la rue" et qui était "mal habillé et avec des chaussures trop petites". La nouvelle James Bond Girl ne parle pas de son grand-père président de Pathé, ni de son grand-oncle président de Gaumont, ou encore de son père co-fondateur de la société Parrot. Léa fait son cinéma !
 
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