Régine flingue les nuits parisiennes

Western. Du haut de ses 84 printemps, Régine n'a pas la langue dans sa poche lorsqu'elle répond aux questions de Brain Magazine. Les fêtes parisiennes ? Rien à en tirer. Et surtout pas au Baron, l'une des boîtes de nuit les plus branchées de la capitale : "Vous appelez ça nouveau ? Cette ancienne boîte à putes qui est devenu un endroit sans aucun intérêt ? Les gens sont saucissonnés les uns sur les autres. Ils puent." Elle regrette un peu l'époque. "Il n'y a plus cette convivialité, les jeunes boivent très vite. Il n'y a pas de véritable ambiance (...) Il n'y a pas d'humour. C'est un peu tristounet", juge-t-elle. Quant à l'Eurovision, on ne devrait le proposer "qu'à des gens de plus de 65 ans et qui savent chanter". Là, c'est clair.