Lorie Pester et son chéri sont "prêts pour toute la vie"

[Mis à jour le 15 mai à 21h15] Pendant presque deux mois les Français ont été confinés. Lorie Pester et son compagnon n'ont pas fait exception à la règle. L'interprète de "J'ai besoin d'amour" a profité de cette période inédite pour profiter de son couple et plancher sur de nouveaux projets. Interrogée par Paris Match, l'artiste de 38 ans a révélé que cette période particulière lui avait permis de consolider son couple. "Je suis avec mon chéri et une semaine sur deux, il y a son fils de 8 ans qui vient.
La cohabitation se passe très bien. Ça nous soulage sur notre couple, on se dit que si on fonctionne en quarantaine alors tout fonctionnera", raconte-t-elle. Et de poursuivre : "Si on a survécu à un confinement je crois qu'on est prêts pour toute une vie !". De là à entendre "mariage et engagement sur la durée...", il n'y a qu'un pas pour celle que l'on a connue avec Garou et Philippe Bas. Au bout

Musique et école à la maison

Et il faut dire que l'actrice de Demain nous appartient était confinée dans des conditions optimales. "J'ai de la chance d'être dans une maison avec un jardin. Les conditions sont idéales. Même si c'est long, on se dit qu'on n'a pas le droit de se plaindre. Après bien sûr il y a des jours où tout se passe bien et d'autres où on pète un peu un câble. Quand ça arrive, un seul mantra: la positive attitude", a-t-elle confié avec humour à Paris Match.

Concernant ses occupations de confinée, Lorie a jonglé entre musique, écriture de son premier livre, et... devoirs à la maison. "Je bosse sur mon livre, sur mes chansons. Quand le petit est avec nous, on se relaie l'école. Le matin je fais histoire-géo, français. Lui fait les mathématiques l'après-midi".

Quant à son compagnon, dont l'identité reste un mystère, "il est en visioconférence du matin au soir", précise-t-elle. 

"Il y a des choses positives à garder de cette période"

Véritable adepte de la positive attitude, Lorie espère surtout que cette crise sanitaire aura un effet positif sur les mentalités. "J'espère juste qu'on se souviendra. Car c'est quelque chose qui m'avait marquée pendant les attentats en 2015: un jour on a applaudi la police et deux semaines après ils se faisaient cracher dessus", a-t-elle déclaré.

Et d'ajouter : "Un jour on peut être un héros, le lendemain un moins que rien… J'espère que la mémoire va rester cette fois. J'espère aussi que chacun gardera des petits choses mises en place pendant le confinement. Ces gestes d'entraide, ceux pour la planète. Il y a des choses positives à garder de cette période!"