Véronique Jannot dévoile le métier que veut faire sa fille Migmar (et ce n'est pas actrice !) : "Ce serait magique"

Véronique Jannot est devenue maman en 2014. Elle avait alors... 57 ans (elle est aujourd'hui âgée de 65 ans). Si son rêve de maternité est devenu réalité, c'est grâce à l'adoption. En effet, c'est au Tibet que l'actrice a adopté Migmar. Un chapitre de sa vie qu'elle n'avait pas prédit. Et les débuts en France ont été difficiles pour la petite fille. "Les premières années ont été délicates car c'était compliqué pour elle de changer d'environnement, de culture et on se retrouvait H24 ensemble, a expliqué Véronique Jannot à Ici Paris. Il a donc fallu s'apprivoiser, ça a pris un peu de temps."

Véronique Jannot maman : quel métier veut faire sa fille ?

Mais la mère et la fille feront preuve de patience. Et plus le temps passe, plus leur complicité se renforce. "Ce qu'on vit ensemble est de plus en plus beau, se réjouit la comédienne de Demain nous appartient sur TF1. D'autant plus qu'elle souhaite devenir metteur en scène. Elle ne rêve que de ça aujourd'hui." Alors, à la maison, la comédie a pris une place à part entière dans leurs discussions. "On parle cinéma, de nos projets, elle derrière la caméra, moi devant, ce serait magique", raconte encore Véronique Jannot.

Devenue mère à 57 ans, Véronique Jannot - ex-compagne du chanteur Laurent Voulzy - ne pensait pas un jour goûter aux joies de la maternité. Un cancer de l'estomac avait entraîné l'ablation de ses ovaires à l'âge de 20 ans. Ensemble, elles feront la couverture du magazine Gala, en février 2021. "Je ne pensais pas adopter, je n'étais pas candidate, a-t-elle assuré à l'hebdomadaire. On s'est choisies toutes les deux avec Migmar."

Véronique Jannot : retour sur l'adoption de sa fille

Comment s'est passée leur rencontre ? Tout est parti de l'action de Véronique Jannot pour son association Graines d'avenir, fondée en 2005, qui soutient la culture tibétaine. "Quand j'ai créé l'association, nous avions toute une pile de dossiers d'enfants à parrainer. J'en ai pris trois un peu au hasard : un petit moine, une famille et une petite fille qui venait d'arriver à Dharamsala. L'année d'après, j'y suis retournée pour la rencontrer. C'est la première fois que j'ai pris sa main, et je ne l'ai plus jamais lâchée."

Quand Migmar arrive en France, elle est décidée à ne plus rentrer au Tibet ou en Inde. "À 15 ans, elle est venue pour la première fois en France. Elle ne voulait pas repartir et j'ai tout fait pour qu'elle puisse rester."