Eglantine Eméyé, maman d'un fils autiste : tendres moments avec Samy - PHOTOS

Eglantine Eméyé est à la fois une maman attentive et une animatrice rayonnante. Le 1er octobre 2022, celle qui a été mannequin pour l'agence Ford pendant cinq ans a posté une photo attendrissante sur son compte Instagram. Sur le cliché, l'animatrice de 48 ans pose dehors, tout sourire, au côté de son fils, Samy, âgé de 17 ans. Celui-ci est polyhandicapé avec des traits autistiques sévères depuis qu'il a été victime d'un AVC non détecté lorsqu'il était bébé. "Coucou! Ballade d'automne: tout va bien il fait encore doux", a légendé celle qui est également maman de Marco, 19 ans. 

Eglantine Eméyé : sa "vie compliquée"

Eglantine Eméyé avait également posté une vidéo émouvante en septembre dernier, sur laquelle on l'aperçoit en train de faire la lecture avec son fils. "Hypnotiser un enfant, parvenir au calme durant quelques minutes", avait-elle commenté en légende de sa vidéo. L'animatrice, que vous pouvez retrouver régulièrement dans l'émission Le Monde de Jamy sur France 3, en tant que complice de Jamy, parvient à mener de front une carrière prolifique à la télévision et une vie de maman de deux enfants, dont l'un est handicapé.

"J'ai une des vies les plus compliquées qui soient, mais j'ai pris l'habitude. C'est beaucoup de temps de trajet et d'aller-retours, et ça demande beaucoup d'organisation, ce qui n'est pas toujours mon point fort ! Je travaille et j'essaye de me réserver tous les 15 jours, deux jours dans la semaine (le lundi et le mardi), pour être auprès de Samy, à l'hôpital", nous avait-elle confié en 2018.

Eglantine Eméyé a dû s'éloigner de son fils : son "horrible" décision

Voilà quelques années que Samy a dû être placé dans un établissement spécialisé. Une décision qui a été "horrible à prendre", selon ses confidences à Voici. "Avec le recul, ce que j'ai vécu est inimaginable. J'ai passé des nuits à pleurer, allongée sur lui pour le contenir et l'empêcher de se faire du mal (...) Après six mois de larmes chez le psychiatre, j'ai admis qu'il y avait de bonnes raisons de le faire. Mais en 2020, pendant le confinement, ça a été un déchirement de ne pas pouvoir le rejoindre. Je l'appelais tous les soirs pour lui chanter des comptines, un rituel que je ne zappe jamais", a-t-elle expliqué.