Antoine de Caunes "n'avait plus goût à rien" : confidences sur sa "dépression"

Antoine de Caunes s'est confié sur son départ du Grand Journal en 2015, dans l'émission On Est En Direct. La fin de cette aventure n'avait pas été facile à vivre…

Antoine de Caunes "n'avait plus goût à rien" : confidences sur sa "dépression"
© Capture d'écran - On Est En Direct - Antoine de Caunes

Antoine de Caunes a évoqué son départ du Grand Journal sur le plateau de On Est En Direct, le 27 novembre. En juillet 2015, l'animateur emblématique de Canal+ a quitté contre son gré l'émission star de la chaine cryptée. Après avoir succédé à Michel Denisot, il a cédé son siège à Maïtena Biraben. Un départ forcé dont le présentateur a eu du mal à se remettre. C'est dans son livre autobiographique Perso (aux éditions Sonatine)que l'homme brise le silence. Il y parle sans filtre de la dépression dont il a souffert pendant deux ans, après l 'arrêt du talk-show. Face à Laurent Ruquier et Léa Salamé, Antoine de Caunes a accepté de revenir sur cette période sombre de sa vie. "C'est une pure dépression en fait. Je n'avais plus goût à rien. J'avais du mal à me lever et pourtant il fallait que je continue à fonctionner puisque j'avais un hebdomadaire à assurer", a-t-il relaté. 

Antoine de Caunes : malgré la dépression, "show must go on"

Après son départ du Grand Journal, l'ex-trublion de Nulle Part Ailleurs a enchainé avec la présentation de L'émission d'Antoine. Une nouvelle aventure qui lui a laissé peu de temps pour digérer son éviction et s'apitoyer sur son sort. "C'est très étrange dans ce genre de métier qu'on fait, où on avance quoi qu'il arrive - où 'show must go on' comme on dit –", explique-t-il.

Antoine de Caunes, forcé de quitter Le Grand Journal : "Ça a été assez douloureux"

Contraint de garder le cap, l'animateur qui a traversé un profond passage à vide a fait bonne figure malgré la souffrance qu'il a enduré. "j'ai eu une période d'entre-deux où j'étais là sans être là. Ça a été assez douloureux. Je mets 'douloureux' entre guillemets parce que je ne veux pas comparer ça à de véritables grandes douleurs mais ça me semblait important de le raconter", a-t-il conclu.