Russell Crowe : "Il n'y a pas de limite à ce que je pourrais faire pour mes enfants"

Pour "La Promesse d'une vie", Russell Crowe passe derrière la caméra et rend hommage à l'Australie. Cette quête au nom de l'amour, sur fond de drame familial, de guerre et de pardon, est à la hauteur des superproductions dans lesquelles il joue. Rencontre.

Russell Crowe : "Il n'y a pas de limite à ce que je pourrais faire pour mes enfants"

Russell Crowe a fini de jouer aux héros. Désormais, il réalise aussi ses propres films. Avec La Promesse d'une vie, l'acteur élevé en Australie confirme ce dont on se doutait : il a tous les talents. Comédien génial abonné aux grandes fresques historiques, il prouve là son sens inné de la mise en scène.
Pour son baptême derrière la caméra, l'aventurier du grand écran raconte la bataille des Dardanelles, dans la péninsule de Gallipoli, vue par le prisme d'un père prêt à tout pour ses fils.
Nous avons eu droit à 5 minutes d'interview avec ce géant d'Hollywood qui, de passage à Paris, nous a fait oublier le Gladiator que l'on connaît. Avec sa chemise à carreaux, son regard bienveillant et ses confidences, Russell Crowe nous a davantage fait penser à un père de famille intuitif, aimant et dévoué. A l'image de son héros, Joshua.

Rencontre filmée :

"Rencontre avec Russell Crowe"

La Promesse d'une vie, de et avec Russell Crowe, au cinéma le 15 avril, est une épopée d’aventures se déroulant en 1919, 4 ans après la terrible bataille des Dardanelles, dans la péninsule de Gallipoli. Un paysan australien, Joshua Connor se rend en Turquie à la recherche de ses trois fils portés disparus. Malgré les barrages de la bureaucratie militaire, sa détermination ne fléchit pas. Il est d’abord aidé par la belle Ayshe, la propriétaire de l’hôtel dans lequel il séjourne à Constantinople, puis par un officier turc ayant combattu contre ses fils. Pour découvrir la vérité et enfin trouver la paix intérieure, Joshua, accompagné du Commandant Hasan, est contraint de sillonner un pays ravagé par la guerre où la frontière entre le Bien et le Mal n’est plus si nette et l’ennemi si clairement identifiable.