Valérie Trierweiler, l'overdose

Valérie Trierweiler

"[Elle insiste pour aller à Tulle avec François alors qu'elle est à l'hôpital et qu'il refuse]. J'insiste : je prendrai ma voiture et j'irai. (...) [Mais le surlendemain :] incapable de me lever. Je lâche prise. Ma tension est au plus bas. Je n'en comprendrai la raison que plus tard. Les doses de tranquillisants ont été surmultipliées pour m'empêcher d'aller à Tulle. Mes veines n'ont pas supporté la surdose."