Pour être heureux au travail, il faut vivre dans ces deux villes ex æquo

Où faut-il travailler en France pour se sentir heureux dans son poste et dans son entreprise ? C'est la question sur laquelle s'est penchée Adobe via son enquête sur "les secteurs d'activité où les salariés sont les plus heureux." Pour mener à bien cette étude, la marque a ainsi interrogé pas moins de 2000 personnes sur leur cadre de vie, leurs attentes professionnelles et leurs petits bonheurs quotidiens.

Première bonne nouvelle : 54% des personnes occupent actuellement le poste de leurs rêves, tandis que 28% sont encore à la recherche d'un emploi dans le secteur d'activité qui les intéresse le plus. Actuellement, certains secteurs sont particulièrement bouchés comme la communication, le marketing ou encore le journalisme... A l'inverse, d'autres secteurs recrutent en masse mais sont en manque criant de candidats comme dans l'hôtellerie-restauration, l'éducation ou les services d'aide à la personne. 

Autre enseignement de cette étude, près d'un salarié sur deux se sent épanoui dans son emploi actuel. Dans le détail, les salariés les plus heureux sont ceux qui exercent dans les arts du spectacle, le droit puis la santé. Mais pas moins de six Français sur dix se disent toutefois prêts à déménager pour trouver le métier de leurs rêves. Mais encore faut-il savoir où aller vivre... Selon Adobe, certaines villes sont tout de même plus épanouissantes que d'autres côté vie professionnelle en France aujourd'hui. 

Ainsi, sur la troisième marche du podium des villes de France les plus épanouies sur le plan professionnel on retrouve Lille avec 58% de travailleurs révélant qu'ils occupent actuellement l'emploi de leurs rêves. En deuxième place, il s'agit de Bordeaux avec 60%. Puis, ex æquo sur la plus haute marche du podium on retrouve Montpellier et Clermont-Ferrand à 61%. 

Et la capitale dans tout ça ? Malgré l'attractivité des salaires, la diversité des offres dans presque tous les secteurs et les possibilités d'évolution de carrière, Paris n'est que 4e de cette enquête avec 56% de travailleurs qui estiment occuper le métier de leurs rêves. Qui a dit que la vie en province était forcément moins bien ?