Prix de Diane : Sophie Thalmann, Tony Parker et la jument d'Antoine Griezmann affolent les spectateurs

Si le jockey Ioritz Mendizabal s'est adjugé l'édition 2021 du Prix de Diane, l'attention était comme souvent autant dans les gradins où le beau monde se pressait que sur la piste de l'hippodrome de Chantilly.
Christophe Soumillon, qui a déjà remporté deux fois la course mythique, prenait part au départ. Mais il n'a pas vécu ce week-end seul puisque sa femme depuis 2006, la Miss France 1998 Sophie Thalmann organisait également le concours de l'élégance Mademoiselle Diane.

"Je suis toujours la plus stressée"

"C'est la première année que l'on va vivre le Prix de Diane dans des conditions si particulières. Le concours aura été lancé en amont grâce à des photos que les candidates nous ont envoyées via les réseaux sociaux. Je conserve mon rôle de présidente du jury, et je devrai choisir moi-même la gagnante", a expliqué Sophie Thalmann, dans une interview accordée au Parisien.

Quant au stress que pourrait ressentir son mari de jockey à l'approche d'une telle course, l'ancienne reine de beauté, et maman de trois enfants, Charlie (15 ans), Mika (12 ans) et Robin (4 ans), assure au Parisien qu'il n'en est rien :

"Christophe reste le même, serein, concentré. Avec lui, c'est ça qui est incroyable : ça reste des journées comme les autres, confie Sophie Thalmann. À la maison, tous les deux, on n'en discute jamais. Cela reste son métier, et quand il passe la porte, on ne parle pas de tout ça. Ça a toujours été comme ça depuis que l'on est ensemble. Mais je prends toujours autant de plaisir à le suivre sur ses courses et à l'encourager."

Le stress, c'est plutôt elle qui le ressent comme elle l'a confié au Parisien : "Il a fait durant de nombreuses années figure d'archi favori, donc il y avait toujours cette petite pression supplémentaire. Mais depuis qu'il est un peu moins attendu, on profite plus facilement. Même si avant le Prix, je suis toujours la plus stressée partage-t-elle. J'ai les enfants à gérer en plus de tout organiser sur place. Le jour J, je dois toujours courir à droite et à gauche, et je dois aussi faire en sorte de ne pas rater la course. En talons, parfois, ce n'est pas toujours évident !"

Tony Parker, du parquet aux écuries

Jeune retraité de la NBA, le basketteur Tony Parker a fait une apparition remarquée au Prix de Diane à Chantilly ce dimanche 20 juin. L'ancien international français était venu soutenir un de ses chevaux, Régalien, qui a terminé cinquième sur dix partants dans la cinquième et avant dernière course, juste avant le Prix de Diane.

La jument d'Antoine Griezmann termine bonne dernière

Natsukashi, la pouliche d'Antoine Griezmann, attaquant des Bleus et passionné de chevaux depuis son enfance, a elle pris la dernière place du Prix de Diane, ce dimanche. Il avait achetée Natsukashi yearling (jeune cheval d'un an révolu), pour la somme de 60 000 euros aux ventes Arqana de Deauville.