Rachid M'Barki dénonce le "lynchage médiatique"

Rachid M’Barki © Berzane Nasser/ABACA
Regrets. Licencié de BFMTV pour soupçon d'ingérence, le journaliste a été entendu par une commission d'enquête le 22 mars. Il a ainsi regretté : "Deux semaines et demi, c'est le temps entre le premier article qui me cloue au pilori et mon licenciement pour de prétendues fautes graves. Deux semaines et demi, c'est le temps du lynchage médiatique en règle dont je fais l'objet". Il a aussi déclaré : "Il m'est reproché d'avoir failli à ma déontologie professionnelle en passant des informations non vérifiées à l'antenne et en laissant supposer que j'aurais été rémunéré pour cela. Tout cela est faux et relève de la calomnie pure" et a conclu : "Je remets en cause les allégations formulées à mon encontre, qui sont toutes fausses".
Pause