Charlotte Gainsbourg : fière de sa fille Alice, elle annonce une heureuse nouvelle

Le cœur de Charlotte Gainsbourg est en joie. Le 8 juin, lendemain de la fête des Mères, l'actrice de 48 ans a reçu un beau cadeau. Elle a célébré la remise du diplôme du Bac de sa fille Alice, âgée de 17 ans, née de son amour avec Yvan Attal. La fille de Jane Birkin et Serge Gainsbourg a annoncé la joyeuse nouvelle en Story sur son compte Instagram en postant une photo d'Alice Attal étant petite. "Mon Alice bien-aimée, joyeuse remise des diplômes", lit-on en légende du cliché.
La sœur de Ben, 22 ans, et de Joe, 8 ans, ne fait pas de vagues et reste relativement discrète, mais le grand public a pu la découvrir il y a quelques années, alors qu'elle était âgée de 13 ans, tandis qu'elle posait pour l'objectif du photographe britannique Alasdair McLella. Elle a été l'égérie du Comptoir des Cotonniers en posant pour une campagne qui célébrait la relation mère-fille.

Alice Attal, "la première à faire de grandes études" ?

Malgré tout, Alice Attal ne s'est pas laissée hypnotiser par les flashs des photographes et la lumière des projecteurs, puisqu'elle a choisi de conserver un relatif anonymat. 

Selon Marie-Claire, l'année dernière, Charlotte Gainsbourg l'a emmenée visiter des campus d'université américaines. La fille de l'actrice envisage donc d'entamer un parcours universitaire et serait même "la première de la famille à faire de grandes études". 

Charlotte Gainsbourg, de retour en France ?

Alors que la petite famille réside à New York depuis six ans, Charlotte Gainsbourg a intrigué en postant récemment sur Instagram le message "Adieu New York". L'actrice serait-elle de retour en France ?

Quelques jours plus tôt, elle avait expliqué à Madame Figaro : "Je suis toujours confinée à New York avec mes enfants, et cela depuis deux mois. J'avais un grand attachement à cette ville parce que ça fait six ans que j'y vis, mais de la voir dans cet état-là... C'est tellement triste tous ces endroits fermés, tous ces gens au chômage... tellement de misère. C'est terrible. C'est là aussi où je prends conscience qu'une partie des États-Unis, un pays que pourtant j'aime, est dans une culture différente. Quand il y a un problème grave, comme c'est le cas, on réalise qu'on veut rentrer 'à la maison".