Valérie Trierweiler : ses proches balancent

Dans le dernier numéro du Vanity Fair espagnol, les proches de l'ex-première dame sont revenus sur sa séparation d'avec François Hollande.

William Massonneau, le frère aîné de Valérie Trierweiler, s'est largement répandu dans les colonnes du Vanity Fair espagnol, qui faisait sa Une cette semaine sur "Les secrets de l'affaire Valérie".

"La relation entre ma sœur et Hollande a été influencée par les événements politiques. Ils n'étaient pas Valérie et François. Ils étaient le Président et la première dame. Ce qu'a fait François Hollande va au-delà de la trahison. C'est difficile à gérer. C'est quelque chose de brutal,  déplore l'ex beau-frère du chef de l'Etat. Hollande est un homme doué de beaucoup d'empathie. Mais sa capacité à mener des vies parallèles me dépasse. Son pouvoir de séduction est immense", a-t-il ajouté.

L'édition espagnole de Vanity Fair relate également des détails concernant l'hospitalisation de l'ex-première dame, en citant une source anonyme. "Valérie Trierweiler a été sous calmants pendant 48 heures. À son réveil, elle pensait avoir dormi quelques heures alors que cela faisait déjà presque deux jours, a confié la source. Elle était sous l'effet des médicaments, elle avait mal au cœur et elle avait du mal à se souvenir de ce qu'il venait de lui arriver. On lui avait retiré ses deux téléphones portables et personne ne pouvait la contacter".

De plus, le mensuel ibérique croit savoir qu'un accord de trois millions d'euros a été passé entre François Hollande et son ancienne compagne, afin que celle-ci puisse continuer à occuper l'appartement du XVe et subvenir aux besoins de ses enfants.

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La Une du Vanity Fair espagnol © Vanity Fair